[ACTU] Japan Expo et Comic Con 2013

Du 04 au 07 juillet ont eu lieu les plus importants festivals geek français : la 14ème édition de Japan Expo et la 5ème du festival Comic Con français, dont l’ampleur n’égale pas celui de l’orignal bien qu’il commence à se rapprocher. C’est l’occasion pour des geeks, otakus ou joueurs de se retrouver autour d’échoppes ou d’évènements tournant entre autre autres autour des jeux vidéo. Ce sont bien sûr sur ces derniers que je vais surtout m’attarder.
Ce compte-rendu se veut non exhaustif : compte tenu de mon statut d’exposante lors de ces conventions, je n’ai assisté à aucun des évènements et n’ai pas pu tester beaucoup de jeux.

INVITES

Côté Comic Con, Aleksi Briclo était un des invités d’honneur cette année . C’est le cofondateur du studio Dontnod Entertainement qui a produit cette année l’excellent Remember Me, jeu qui bénéficiait d’une petite exposition au sein de la Comic Con. Nintendo accueillait de son côté Akihiro HINO, fondateur du studio LEVEL-5, qui était venu présenter Professeur Layton et l’Héritage des Aslantes et Inazuma Eleven® 3: Foudre céleste et Inazuma Eleven® 3: Feu explosif. Le nouveau jeu Layton avait par ailleurs droit à un petite exposition de croquis et dessins originaux au sein du stand de Nintendo.
Côté Japan Expo, Square Enix était à l’honneur avec la venue de Shinji HASHIMOTO (producteur exécutif de Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX ), Yoshinori KITASE (producteur sur Lightning Returns: Final Fantasy XIII et Final Fantasy X/X-2 HD Remaster), Motomu TORIYAMA (directeur sur Lightning Returns: Final Fantasy XIII, Final Fantasy X-2 et réalisateur des cinématiques sur Final Fantasy X) et Naoki YOSHIDA (producteur et directeur sur Final Fantasy XIV : A Realm Reborn). Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX, Final Fantasy X/X-2 HD Remaster et Fantasy XIV : A Realm Reborn étaient de mémoire tous testables sur le stand de Square Enix. Ayant joué un peu à Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX, je peux vous confirmer qu’il est magnifique.
Tout au long de ces conventions, Namco Bandai Games proposait aussi de nombreuses conférences en présence de directeurs ou producteurs des jeux jouables sur leur stand.

Entre les invités spéciaux de chacune des conventions et les invités proposés par chaque stand de jeux vidéo, le choix était vaste. Nul doute que je dois en oublier, je m’en excuse par avance.

STANDS ET JEUX

Comme d’habitude, Namco Bandai Games avait décoré une partie de leur stand aux couleurs de One Piece dont ils avaient reproduits certains décors. En plus du jeu One Piece: Pirate Warriors 2, ils proposaient en test les jeux Pac-Man Championship Edition DX +, Tales of Xillia (avec la présentation de l’édition collector dont la superbe figurine de l’héroïne), Tekken Card Tournament sur tablettes et Tekken Revolution sur console ainsi que le nouveau jeu de la licence des Chevaliers du Zodiaque, Saint Seiya Brave Soldiers.

Le stand de Square Enix était comme d’habitude coupé en deux, l’un présentant les produits Square Enix dérivés de Final Fantasy, Bayonetta, Devil May Cry ou autres licences, l’autre permettant de tester et précommander les jeux Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX, Final Fantasy X/X-2 HD Remaster et Fantasy XIV : A Realm Reborn.

Dans un petit décor de maisonnette, le stand d’Ankama proposait de jouer en réseau à leur jeu et en parallèle à des joutes physiques et petits jeux avec des animateurs cosplayés en personnages du jeu.

Nintendo était bien sûr encore présent avec le stand le plus imposant du Comic Con qui mettait en avant le jeu Animal Crossing, mascotte des éditions de Japan Epo et de Comic Con de cette année. Le stand était aux couleurs du jeu, que ce soit au niveau du sol ou des silhouettes en carton des différents personnages avec lesquelles les visiteurs prenaient plaisir à poser. Il était possible de prendre une photo de l’intérieur de sa maison et de repartir avec une photo physique, un sac aux couleurs du jeu et au mieux un jeu (après vérification, The Legend of Zelda : a Link Between Worlds) si la photo, diffusée sur des écrans à l’accueil, était élue comme représentant l’intérieur le plus original. Des mascottes Luigi, Mario et Pikachu se promenaient dans les allées. Etaient jouables les jeux suivants : le dernier Inazuma Eleven, Pokemon X et Y (dont étaient présentes des mascottes gonflables), les derniers Layton et Fire Emblem pour la partie 3DS et Pikmin 3, Super Mario 3D World, Donkey Kong Country : Tropical Freeze, etc.
Il y avait aussi bien sûr les habituels tournois de Mario Kart , Monster Hunter 3 Ultimate et Luigi’s Mansion 2 qui permettaient de gagner des caquettes en tissu Luigi qui avaient l’avantage de ne pas finir par terre, contrairement à une partie des casquettes en carton Luigi, mis à l’honneur cette année suite à son anniversaire. Soyons clair : le stand Nintendo n’y était pour rien, c’est ici la malpropreté de certains visiteurs que je mets en cause.
D’autres stands de jeux étaient  aussi présents : Saints Row IV (avec un petit décor pour poser), Killer is Dead, Ninja Gaiden 2, etc.

JEUX RETRO

En parallèle de ces gros stands , on retrouvait d’autres stands dans la partie Comic Con plus axés sur les jeux de danse ou de rythme ainsi que bien sûr le stand MO5.com qui permettait de rejouer à des jeux plus ou moins anciens. Plus grand que l’année dernière, il proposait entre autres cette année Phantasy Zone, Rayman et son grand frère Rayman Origins, Sonic, Wonder Boy, Donkey Konga 2 sur une superbe borne aux couleurs du jeu, Tomb Raider, World of Illusion… La plupart des machines étaient représentées. La plus belle était la Nintendo 64 édition spéciale Zelda.

Les machines et jeux les plus populaires étaient Mario Striker Charge Football sur Gamecube, Super Smash Brosh Melee sur Gamecube et, plus surprenant,  la console Virtual Boy pour lesquels se formaient même des files d’attente. Comme chaque année, les tournois de Bomberman sur écran géant ont fait fureur.

Vous trouverez ci-dessous une petite galerie pour compléter cet article qui est, je le répète encore une fois, non exhaustif. Chacun des festivals est si dense qu’il est impossible de les résumer correctement sans oublier quelques stands ou évènements.

[TEST] Animal Crossing New Leaf : le jeu qui vous fait oublier la vraie vie (test de Winry26)

Animal Crossing est un jeu qu’en gros, on aime ou on n’aime pas.
Globalement, c’est un jeu de gestion où il n’y a pas grand chose à faire :
– cueillir des fruits et des fleurs pour les revendre
– attraper des insectes (à donner au musée ou revendre)
– pêcher des poissons (à donner au musée ou revendre)
– décorer sa maison avec des accessoires achetés à la supérette ou gagnés lors de missions effectuées auprès des habitants
– habiller son avatar avec des vêtements et accessoires acquis de la même façon
– déterrer des fossiles (à donner au musée ou revendre)
– payer l’emprunt de sa maison et l’agrandir dès que possible (d’où l’intérêt des tâches ci-dessus)
En fait, la recette n’a pas vraiment changé depuis le jeu sur DS de 2006. Petite nouveauté de cette version : je suis maire ! Winry, maire de la charmante ville d’Abazut, peut donc voter contre de menues clochettes des arrêtés permettant de vendre ses objets au meilleur prix, d’obliger les boutiques et les habitants à se lever plus tôt ou au contraire à se coucher plus tard (pratique quand on fait cela le matin en partant à 7h00 au boulot). De même, elle choisit où elle va installer de nouvelles infrastructures :  pont,  bâtiments , bancs, etc. Niveau amélioration, le système de jeu en réseau est assez aisé à utiliser et l’île de Tortimer, l’ancien maire parti à la retraite, permet de jouer seul ou à plusieurs à des mini-jeux dans un univers toujours ensoleillé , contrairement à la ville dans laquelle il fait parfois un temps bien pourri genre pluie qui tombe à verse.
Les magasins aparaissent et s’agrandisent en fonction de notre avancée.
Parfois, des insectes kamikaze se jetteront à l’eau pour éviter que vous ne les attrapiez. Je ne suis pas certaine qu’ils sachent nager.

C’est là toute la magie (ou la sorcellerie, je ne sais pas vraiment) de ce jeu. Peu de choses à faire et pourtant , il devient vite chronophage et addictif. En moins de temps qu’il ne le fallait pour le dire, je suis retombée dedans au point de vider la maigre batterie de ma 3DS en 2 voyages de RER.

Je ne vais pas faire un article poussé sur Animal Crossing, les systèmes de jeu ayant déjà été décrits de nombreuses fois depuis la sortie du jeu. Je n’avais pas touché à Animal Crossing depuis des années et j’ai vite repris mes habitudes : parler aux habitants et essayer de contenter leurs désirs (et parfois rire intérieurement de leurs remarques, j’en ai d’ailleurs mises quelques unes dans la galerie ci-dessous), veiller à la santé des fleurs et des arbres, faire du shopping, aller danser au son de Kéké qui fait en plus discothèque.

Globalement, j’aime beaucoup cet animal Crossing qui comme à chaque fois, me fait oublier qu’il y a une vraie vie et dans lequel je passe une heure à cueillir des fruits et à les revendre. Mais ATTENTION: essayer Animal Crossing, si vous n’avez jamais encore essayé, revient à prendre le risque de vouloir dans la vie réelle sortir un filet d’un sac à dos invisible pour attraper le papillon sur la vitre de l’arrêt de bus ou une pelle pour creuser dans la petite faille du chemin que vous empruntez pour rentrer chez vous, ou encore essayer de changer de vêtements quasiment juste en claquant des doigts. Oui, Animal Crossing New Leaf, c’est une seconde vie en plus de la vôtre. Après, si vous en avez le temps, je vous conseille grandement de vous y jeter.

[NEWS] DECOUVREZ UN PERIPLE DEJANTE ENTRE REVES ET REALITE DANS MARIO & LUIGI: DREAM TEAM BROS.

Le quatrième épisode de la célèbre série de jeux d’Action RPG Mario & Luigi sort demain !

L’heure est venue de retrouver les célèbres frères et les pouvoirs d’OniLuigi : dès demain, vendredi 12 juillet, Mario & Luigi: Dream Team Bros. sortira sur la gamme de consoles Nintendo 3DS !
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Dans ce quatrième épisode de la série de jeux d’Action RPG Mario & Luigi, la Princesse Peach, Mario, Luigi et toute la cour du château, sont invités à passer les vacances sur l’île Koussinos. Hélas, peu après leur arrivée, la princesse Peach se fait enlever dans un monde onirique par Antasma, le roi chauve-souris fantomatique ! A vous d’incarner Mario et Luigi, le duo rouge et vert, pour explorer les rêves de Luigi et sauver une nouvelle fois la princesse !
 
Au cœur du Monde Onirique, de nombreux Koussinos ont été enfermés par Antasma dans les fragments de la Pierre des Ténèbres et Luigi doit les utiliser comme oreillers pour les sauver et progresser dans l’histoire. Les choses se compliquent lorsqu’Antasma est rejoint par Bowser en personne. À eux deux, ils forment une alliance malfaisante visant à trouver un artefact mystique : la Pierre des Rêves. Celle-ci donne le pouvoir de conquérir le monde ! Pour les arrêter, Mario et Luigi devront parcourir l’immensité du monde réel de l’île Koussinos ainsi que les recoins les plus secrets des rêves de Luigi.
 
Contrôlez l’intrépide Mario et le distrait Luigi pour associer leurs talents dans des aventures déjantées ! Mario devra se frayer un chemin dans les rêves de Luigi pour retrouver la princesse, mais il ne sera pas seul ! Oniluigi, l’incarnation du plombier vert dans le monde onirique, aidera Mario à franchir tous les obstacles en se transformant par exemple en arbre ou en tornade.
Combinez les attaques de Mario et Luigi pour lancer des carapaces dévastatrices, ou utilisez le gyroscope pour diriger une balle constituée de Luigi et ainsi écraser vos adversaires ! Appuyez sur les boutons au bon moment pour faire des combos supplémentaires et voir les deux frères démultiplier leurs attaques ! Chaque monde offre des possibilités inédites.
 
Affrontez l’alliance maléfique de Bowser et d’Antasma et aidez Mario et Luigi à contrer leurs plans diaboliques dès le lancement de Mario & Luigi: Dream Team Bros, disponible vendredi 12 juillet sur les consoles Nintendo 3DS et Nintendo 3DSXL. Lancez-vous dans un périple déjanté entre rêves et réalité !
 

[NEWS] OGGY : l'appli des vacances disponible dès aujourd'hui dans l'AppStore et Google play !

communique_appli_oggy_11_07.002A partir d’aujourd’hui, vous avez une mission : aider Oggy à rattraper les Cafards et à se débarrasser d’eux à grands coups de tapette et autres objets surprenants, tout en évitant les obstacles qu’ils mettront sur sa route pour le ralentir !

Le jeu développé par Xilam Animation et Playsoft Games est disponible gratuitement dès aujourd’hui sur iOS et Androïd avant la sortie du long-métrage d’animation Oggy et les Cafards sur les écrans français le 7 Août 2013.

Iconoclaste, provocateurs, drôles et émouvants, dignes héritiers de l’âge d’or du cartoon, Oggy et les Cafards ont séduit plusieurs générations de téléspectateurs et constituent un des plus beaux succès de l’animation française. La série animée produite par Xilam Animation est actuellement diffusée dans plus de 150 pays et notamment sur les 3 grands networks américains : Cartoon Network, Nickelodeon et Disney Channel). Elle est multi diffusée en France depuis 15 ans et continue de rencontrer un vif succès sur France 3, Canal+ et Télétoon+.

[NEWS] FINAL FANTASY X|X-2 HD REMASTER DISPONIBLE EN PRÉCOMMANDE, L’ÉDITION LIMITÉE EST ANNONCÉE

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Avec un artbook exclusif de superbes illustrations conceptuelles et des commentaires de l’équipe de développement d’origine.

Square Enix Ltd. annonce aujourd’hui que FINAL FANTASY X|X-2 HD Remaster est disponible en précommande. Les fans en Europe et dans les territoires PAL pourront choisir entre l’édition standard et l’édition limitée, cette dernière offrant un artbook contenant une sélection d’illustrations conceptuelles du jeu, des commentaires des développeurs d’origine de FINAL FANTASY X et FINAL FANTASY X-2 ainsi qu’un message du producteur, Yoshinori Kitase.

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FINAL FANTASY X|X-2 HD Remaster sera disponible sur un seul et même disque sur PlayStation 3. FINAL FANTASY X HD Remaster et FINAL FANTASY X-2 HD Remaster seront disponible sur PlayStation Vita. Ces jeux sortiront plus tard cette année.
Liens
Site officiel : http://www.finalfantasyXHD.com
Page Facebook® officielle : http://www.facebook.com/OfficialFinalFantasyX

[TEST] Pet Society

Aujourd’hui, je veux vous présenter un jeu social de Playfish, racheté en 2009 par Electronic Arts : Pet Society.

Vous créez dans ce jeu un avatar qui gagne des rangs et des cadeaux au fur et à mesure que  vous
–  le nourrissez,
– le lavez,
– allez visiter d’autres amis Facebook (ajoutés automatiquement dès lors qu’ils sont dans votre liste d’amis et possèdent un avatar dans le jeu),
–  jouez avec lui à la corde à sauter,
– faites des courses dans le stade avec d’autres avatars choisis aléatoirement,
– pêchez dans le lac
– achetez des vêtements, des décors, du mobilier
-déposez des cadeaux chez les amis

– cueillez des fruits et des légumes que vous faites pousser dans vos jardins et qui peuvent être de petite à grande taille en fonction de combien de temps vous les laissez pousser

Vous gagnez de l’argent dans le jeu en visitant les amis, effectuant des courses, passant un niveau ou à chaque connection. Il existe en parallèle des éléments achetables avec des billets, monnaie ne pouvant être acquise que par de l’argent physique, comme dans la plupart de ces jeux.
Chaque semaine, il y avait un nouveau thème Parfois, il était lié à l’actualité : Noël, Pâques, Nouvel An, la fête des Morts Mexicaines, etc. D’autres fois, il était lié à des univers spécifiques, certains très proches d’univers sous licence mais avec d’autres noms : chasseurs de dragons, oiseaux, New Age, Rock n’Roll, films Disney, pirates, sous la mer, etc. Je vous invite à aller voir la galerie photo pour avoir un petit aperçu de ce que cela pouvait donner une fois acquis la majorité des élements ne requérant pas de billets.

Bref, pet Society est un jeu social classique qui privilégie une connection journalière par des bonus dont des billets offerts au bout de 5 jours continus de connection. Que de jours passés à accumuler des billets pour pouvoir acheter un compagnon à mon personnage… Il est en effet possible d’acheter des animaux à votre avatar, la plupart ne pouvant être acheté qu’avc cette fameuse monnaie : griffon, licorne, chat, chien, lapin, chien électronique, extraterrestre, etc. Si vous ne les nourrissez pas assez fréquemment, ils fuguent et il faut alors demander à des amis Pet Society de les ramener ou payer 250 pièces par animal.

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Sur la photo ci-dessus se trouvent mon avatar Winry, entourés de ses familiers obtenus au fil des années :
– En haut de gauche à droite : Caleb, Freya, Alphonse / Hyppolite, Winry, Kawai / Beast, Simba
– En bas de gauche à droite : Trueman, Donkey,Rex, Jojo, Drago, Rainbow Dash, Belicus, White Will
Si je fais cet article, ce n’est pas pour vous inciter à jouer à ce jeu bien qu’il soit plus que sympathique si vous aimez ce genre de jeu de gestion simplifié basé sur le social et très proche d’un Animal Crossing. Non, je fais cet article parce que les serveurs du jeu seront fermés le 14 juin 2013. Avec eux disparaîtront mon avatar dont je me suis tant occupée depuis 3 ans et demi, ses familiers, tous ses biens (nourriture, peluches, mobilier, plantes, habits, éléments de décor) entassés depuis toutes ces années…
Son existence de pixels sera bientôt effacée corps et bien. Cet article est une façon de lui rendre hommage.
Retaillage 1Winry, « née » le 6 novembre 2009.
« Morte » le 14 juin 2013.

[NEWS] Exposition "Et l'Homme …créa le robot" au musée des Arts et Métiers

2013-02-28 17.25.56Pour ceux et celles qui sont sur Paris, ce sont actuellement les derniers jours de l’exposition temporaire « Et l’Homme … créa le robot » au Musée des Arts et Métiers, celle-ci s’achève dimanche 03 mars. Bien que petite en taille, cette exposition est à ne pas rater pour quiconque intéressé par la robotique. Elle est l’occasion de voir de près , entre autres, des robots d’usine en fonctionnement, des modèles de robots utilisés pour scruter les fonds sous-marin ou circuler et effectuer de petites tâches dans les centrales nucléaires.

C’est aussi d’un point de vue plus geek l’occasion de voir un modèle Aibo et des modèles Nao en fonctionnement, ce dernier étant particulièrement impressionnant dans la souplesse et le nombre de ses mouvements. Concernant l’Aibo, cela fait regretter que la production aie été stoppée. Vous pourrez aussi manipuler via une tablette à disposition un Reeti, robot expressif.

Enfin, vous pourrez voir de très près le R2D2 original de l’Empire contre-attaque ou d’un robot NS-5 de I,Robot dont le modèle le plus connu est bien entendu Sunny, le robot qui pense. Il y a aussi des répliques à l’échelle d’autres robots connus comme C3PO.

Encore une fois, l’exposition n’est pas très grande et en faire le tour en lisant tous les panneaux vous prendra une petite heure au mieux mais il serait dommage de louper l’occasion de voir d’aussi près des prouesses de robotique.

Vous pouvez en savoir plus sur le site de l’exposition : http://robots.arts-et-metiers.net .


 

[TEST] Epic Mickey : Power of Illusion 3DS


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Avant de commencer cette critique, j’ai un secret à avouer : oui, je suis une joueuse occasionnelle tellement mauvaise aux jeux de plateforme que j’ai fait découvrir à mon mari l’existence du tanuki doré dans le nouveau Mario (privilège réservé aux gens tellement nuls qu’on leur donne l’immortalité histoire qu’ils avancent un peu). Et cela dès les premiers niveaux… Par conséquent, j’ai été assez surprise lorsque j’ai testé sur 3DS la démo du jeu de plateforme Epic Mickey : Power of Illusion et qu’elle m’a plu.

Développé par Junction Point et plus particuliérement Warren Spector (Deus Ex, Dark Project), l’histoire se situe juste après les évènements de Epic Mickey 2 : the power of 2, sorti sur Wii et Wii U. Mickey est appelé à l’aide par son ami Oswald pour sauver les toons faits prisonnier dans un château peuplé d’illusion créées par la sorcière Mizrabel. Le jeu fait bien sûr écho à Castle of Illusion, édité en 1990 sur différentes consoles. Je tiens à préciser que je n’y ai pas joué et que j’ai refusé de le tester, connaissant par ouï-dire sa grande difficulté et craignant de fracasser une manette de MegaDrive contre le mur.

Graphisme

Niveau graphisme, il est très beau. L’effet de relief généré par la 3D est discret et donne un bon effet de profondeur bien que dispensable. Les lieux et les personnages en sprites sont bien modélisés et assez détaillés pour un graphisme à l’ancienne. C’est un bonheur pour les yeux. Les dialogues avec les personnages et les vidéos se font par image fixe différente en fonction du texte et donc du ton du personnage.

Son

Que de la musique et des bruitages. La musique n’est pas inoubliable mais accompagne bien chacun des univers.

Jouabilité

Sur l’écran supérieur, le jeu se joue de façon classique : saut sur l’ennemi, attaque tornade, saut augmentée lors des attaques sur l’ennemi permettant d’atteindre des endroits inaccessibles. Console 3DS oblige, il se joue ausi à l’écran tactile, des objets pouvant être créés ou effacés sur l’écran inférieur à l’aide du pinceau à peinture et solvant de Mickey. Autant certains niveaux peuvent être joués sans quasiment n’y avoir jamais recours, autant d’autres niveaux vous obligeront à rester le stylet à la main pour dessiner et effacer des objets de la quête pour pouvoir avancer. Ce côté peut être lassant voire repoussant pour la plupart des joueurs, tout particulièrement les nostalgiques de Castle of Illusion.

Le pinceau se recharge au fur et à mesure du niveau, plus ou moins vite en fonction des améliorations apportées. A chaque fois qu’un objet est créé, Mickey obtient un bonus temporaire de rapidité et de force, dont la durée dépend de la qualité d’exécution du dessin. Le pinceau permet aussi de se défendre et fonctionne comme une attaque à distance, la peinture octroyant des demi-cœurs et le solvant de l’argent à dépenser à la forteresse.

Difficulté

Elle est assez bien dosée pour les plus jeunes, augmentant au fil des niveaux, mais risque d’être trop facile pour un joueur rodé aux jeux de plateforme. Tous les 3 mondes apparaissent des boss pas trop durs à battre une fois leur pattern trouvé, exception faite du dernier qui m’a demandé beaucoup de temps et d’arrachages de cheveux. Il me semble d’ailleurs déséquilibré par rapport au reste du jeu, en sachant que j’avais quasiment toutes les améliorations possibles.

Les ennemis évoluent au fil des niveaux : attaques à distance multiples, bulles de protection, carapaces et autres joyeusetés les protègent les rendant plus durs à battre et incitant du coup plus à les éviter (quand c’est possible).

La difficulté peut être accentuée si vous décidez de ne prendre aucune aide de jeu supplémentaire (octroyées par Picsou contre l’argent gagné au fil des niveaux ou en accomplissant des quêtes personnages -voir ci-dessous).

Il n’y a pas de statistiques sur la durée passée par niveau, le nombre d’ennemis mis hors service ou la somme d’argent récolté, n’espérez donc pas faire de superplay.

 Univers

Les ailes sont dédiées à des dessins animés spécifiques. Ainsi, vous évoluerez dans l’univers de Peter Pan pour l’aile I, celui d’Aladin pour l’aile II et celui de la Petite Sirène dans l’aile III. Les personnages que vous devez récupérer dans les niveaux proviennent par contre d’univers plus variés : vous retrouverez ainsi au cours de votre périple Donald, Mulan, Cendrillon, Raiponce, Pluto…

Ces personnages ne sont pas jouables : une fois récupérés, ils investissent la forteresse d’Oswald et vous donnent diverses missions vous permettant de récupérer de l’argent ou des bonus (augmentation de la réserve de peinture/solvant, cœurs supplémentaires, nouveau croquis…). Ces missions peuvent être du dessin à accomplir (quasiment impossible à rater), un objet à retrouver dans les niveaux déjà visités ou encore un objet à aller demander à un autre personnage déjà présents dans la forteresse. Cette dernière est la plus ennuyeuse car elle oblige à aller d’une pièce à l’autre.

 Durée de vie

Elle est assez courte : à mon niveau, une dizaine d’heures sans les quêtes annexes, une vingtaine en ayant fini le jeu au complet, toutes quêtes annexes comprises. Pour les joueurs plus expérimentés, comptez donc moins de 10 heures dans le meilleur des cas. Les niveaux ne sont pas très longs : en coupant au plus court et en se dirigeant directement vers la sortie, ils font une dizaine de minutes pour les ailes I et II, un peu plus pour l’aile III.

L’augmentation de durée de vie de jeu se fait surtout par l’ajout de missions consistant à aller récupérer personnages ou objets dans les anciens niveaux, parfois situés dans des lieux accessibles en une seule tentative et nécessitant par conséquent de relancer le niveau en cas d’échec. Par exemple, la poêle de Raiponce dans le niveau d’Agrabah est  située en fin de niveau sous un garde au dessus de pierres à briser et n’a qu’un espace d’accessible. De plus, les objets apparaissent au fur et à mesure des nouvelles quêtes des personnages : il sera donc habituel de devoir revenir dans un ancien niveau que l’on vient de refaire pour y récupérer à nouveau d’autres objets.

Bilan

Au final, sans être le jeu de l’année, c’est un jeu de plateforme rudement sympathique pour la petite joueuse occasionnelle que je suis, la difficulté croissante et l’univers rendant ce jeu accrochant et vraiment pas mal. Une bonne initiation aux jeux de plateforme mais à déconseiller aux joueurs les plus âgés ou aguerris à ce type de jeu.

[NEWS] Exposition et animations Bilbo the Hobbit

A l’occasion de la sortie prochaine du film Bilbo Le Hobbit (que j’attend avec pas mal d’impatience, je dois avouer), la RATP a eu la très sympathique idée de recréer rapidement un décor de Cul-de-Sac, lieu mythique de Hobbitebourg, au sein de la gare parisienne d’Auber.

Quelques maisons du village ont été recrées avec à l’intérieur des posters des films du Seigneur des Anneaux mais aussi du nouveau film. Accroché sur les murs de ces demeures, des pancartes présentent sommairement les personnages et l’histoire du film. Au sol, à proximité du village, s’étend une carte de la terre du Milieu qui rappelle de bien bons souvenirs.

En parallèle de ces décors sommairement reconstitués, la RATP organise plusieurs animations gratuites:

– vous pouvez vous faire prendre une photo devant une grande affiche du film avec des silhouettes en carton de Gandalf et Bilbo. La photo est de bonne qualité et vous est envoyée directement sur votre téléphone, non sans publicité pour le nouveau site de la RATP autour, mais bon, ça fait partie des règles du jeu.

– vous pouvez vous faire caricaturer par un dessinateur. Celui-ci travaillant sur un iPhone, les dessins sont là encore envoyés directement à une adresse e-mail par la RATP. Les caricatures sont vraiment très sympa, surtout sachant qu’il n’a qu’une dizaine de minutes pour faire un dessin ressemblant et le coloriser sommairement. Les conditions de travail sont par contre un peu moyenne : l’écran est tellement petit qu’il doit être pénible pour lui de dessiner des heures durant sur ce support. Respect. Malheureusement, je n’ai pas pu rester pour en avoir une, le temps me pressant un peu.

– des bornes X-Box 360 sont en libre accès au public afin de tester le jeu Lego Seigneur des Anneaux sorti récemment. Une riche idée d’autant que j’ai vu se succèder à ces bornes des enfants comme des trentenaires ou des quadragénaires.

– demain, dernier jour de l’animation, est prévue de 16h30 à 19h00 la venue des personnages du film pour les plus jeunes (des comédiens, pas les acteurs du film, hein, mais bon on s’en doutait un peu).

Je donne un très bon point pour le personnel du lieu qui était serviable et très souriant, c’est très agréable, surtout quand on sait qu’ils y étaient depuis 7h30 du matin. J’ajoute que des bonbons aux couleurs de la RATP sont à disposition des visiteurs de passage ou des personnes attendant d’être caricaturées.

Une belle initiative de la part de la RATP d’autant plus qu’elle est intégralement gratuite. Pour plus d’informations sur les horaires, je vous invite à aller consulter le lien suivant : http://www.ratp.fr/fr/ratp/r_79313/-le-hobbit-un-voyage-inattendu-gagnez-un-voyage-en-nouvelle-zelande-avec-maratp-/

Si vous souhaitez le voir en vrai, dépêchez-vous car, comme je l’ai écrit plus haut, demain est le dernier jour pour pouvoir en profiter !

En attendant, pour ceux qui ne peuvent pas y aller, je vous invite à consulter la galerie photo.

[TEST] My Little Pony : les amies, c’est magique

Lorsque j’ai vu en application gratuite un jeu « My Little Pony : les amies, c’est magique » (Gameloft et Hasbro Gaming, disponible  sur Androïd ou iOS), il fallait que je voie par moi-même ce que pouvait donner cette application.

Le jeu est basé sur la nouvelle série de My Little Pony. Le synopsis est le suivant :  la méchante Nightmare Moon (très classe au demeurant) a envahi le royaume de Ponyland de ténèbres. Twilight Sparkle (rien à voir avec les livres, hein, ne vous inquiétez pas) doit faire revenir ses amis poneys et licornes afin qu’ils l’aident à nettoyer Ponyland et à faire revenir la lumière dans tout le royaume.

La petite vidéo d’introduction sous forme d’images fixes est assez jolie. A l’instar des Simpson Tapped Out (ou « Simpson Springfield » sous notre latitude), le jeu fait appel aux voix originales de la série et est sous-titré lors des moments parlés. Cela peut être une difficulté pour les plus jeunes.

L’écran de chargement et l’univers du jeu est  très coloré, à l’image de la série. Sans casser 5 pattes à un poney, les graphismes sont jolis, les poneys étant modélisés en 3D et les décors en 2D avec scrolling sur l’horizon. Le jeu est assez vivant : on voit passer des lapins et des oiseaux dans la forêt, les poneys interagissent entre eux sans intervention du joueur.

Bien qu’indiqué « jeu d’aventure » dans le descriptif, MLP est un jeu de gestion simplifié comme c’est la mode actuellement (pour ne citer qu’eux : « Les Schtroumpfs », « Skylanders, Lost islands »), un type de jeu toujours agréable qui permet de se détendre une dizaine de minutes et dont je fais partie des utilisatrices. Pour récupérer les poneys disparus, il va falloir construire leur maison, tout en achetant des parcelles de terrain afin de les libérer de l’obscurité et pouvoir placer habitations et boutiques.

Vous gagnez de l’argent en plaçant des stands de jeu ou de nourriture dans lesquels un ou plusieurs poneys peuvent travailler et gagner une somme plus ou moins grosse en fonction du temps nécessaire. Vous gagnez aussi pièces et joyaux à chaque niveau passé ou en remplissant les conditions de quêtes aléatoires (construire des stands, récupérer une certaine somme d’argent ou de cristaux, etc).

A côté de cela, des mini-jeux  (balle, ramassage de pommes) vous permettront de monter le niveau de chaque poney. J’émet un bémol pour le jeu de balle pour lequel, après une trentaine de tentatives et en s’y mettant à deux, nous n’avons toujours pas compris à quel moment il fallait appuyer pour effectuer le bon lancer. En fonction des résultats, une étoile se remplit plus ou moins. Lorsqu’elle est remplie, cela donne accès à un mini-jeu dans lequel il faut faire voler le poney  pour lui faire récupérer le plus de pièces possibles en lui faisant éviter les nuages orageux. Les mini-jeux nécessitent des pièces (argent du jeu) ou des joyaux (plus rares et pouvant s’acquérir avec des micro-paiements) et il faudra par conséquent parfois choisir entre récolter assez d’argent pour faire venir un nouveau poney, faire monter de niveau ceux déjà présents ou agrandir son terrain.

Gros reproche que je fais au jeu : comme la plupart de ses confrères, il s’agit d’un freemium et il faudra dépenser de l’argent réel pour acheter des joyaux afin d’avancer plus vite dans le jeu ou de pouvoir acquérir certains poneys et objets.

Je dois avouer que c’est assez bien fait et très sympathique. Personnellement, je me suis prise au jeu, même si je ne pense pas continuer à jouer régulièrement après ce test. Une bonne idée pour initier un enfant au jeu de gestion simplifié, qu’il connaisse la série ou non.