Le donjon de Naheulbeuk – L’amulette du désordre

Testé sur switch

Disponible sur : PC Windows, Mac, PS4, Nintendo Switch

On va faire simple, vous ne connaissez pas le « donjon de Naheulbeuk », filez directement ici et revenez ensuite lire cet article … Voilà, pour les autres voici mon avis sur le jeu. J’ai attendu longtemps qu’il arrive sur Switch car je joue peu sur PC.

Petit préambule sur la version switch :

Assurez-vous d’avoir la dernière version

Aujourd’hui, je peux recommander le jeu sur switch, mais à sa sortie j’étais vraiment colère … Le jeu est sorti dans un état lamentable : bugs de sons irritants, bugs de collisions, et pire du pire, crash du jeu environ toutes les 5 à 10 minutes une fois arrivé dans le “vrai jeu”. Le tutoriel et les premiers niveau sont relativement simples et sans trop d’ennemis, ils se déroulaient sans trop de soucis : par contre une fois le jeu vraiment débuté et qu’on avait plus de 3 ennemis à l’écran et 4 persos dans le groupe, les problèmes sont apparus.  J’ai vraiment crisé, c’est avant tout un jeu de fans, et se rendre compte qu’il est sorti “pas fini” était vraiment frustrant. Pour mon cas, j’ai attendu la version switch, j’aurais pu attendre les 2 mois qu’il a fallu aux devs pour corriger les plus gros problèmes. Mais non, le jeu est sorti quand même et j’ai pris ça comme un gros doigt à mon intention … Bref, ratage complet pour la sortie, mais sinon est-ce que j’aime ce jeu et est-ce que je le recommande ?

Si vous aimez les T-RPG et/ou Naheulbeuk FONCEZ !

Oui bordel, c’est ça le pire, le jeu est génial !!! C’est un des meilleurs tactical RPG auquel j’ai pu jouer depuis Fire Emblem Path of Radiance (sur Gamecube).
L’univers du donjon de Naheubeuk est présent à chaque seconde, on pourra faire quelques reproches sur les doublages dont toutes les voix ne sont pas faites par PoC, mais franchement c’est du chipotage, le doublage est excellent à mon goût. L’écriture est parfaite, on a une histoire de la même veine que celles qu’on connait, on retrouve plein d’éléments connus, et je ne spoilerai ni sur l’histoire ni sur les vannes, je vous laisse ce plaisir … Mais sachez que l’on retrouve notre relation entre l’elfe et le nain telle qu’elle est dans la série. J’ai apprécié aussi les petites références à la pop culture glissées par ci par la au détour d’un dialogue ou d’un écran de chargement.
Côté tactical RPG, rien ne manque : le tour par tour, le quadrillage au sol (désactivable), les upgrades de perso, un inventaire de folie, la gestion du poids du matos, les blessures des persos, les potions, … Tout est là, en bonne quantité, et on sent que rien n’a été laissé au hasard (sauf les tirages de dés pour résoudre une action 🙂 )
Les compétences sont variées et on a envie de toutes les essayer (je vous conseille la “potion de l’oubli” en fin de partie pour pouvoir changer votre façon de jouer). L’équipement permet de compléter les compétences que l’on attribue à notre équipe, il y a plein de petits mécanismes qui permettent vraiment de varier la façon de jouer. Cerise sur le gateau, un dernier membre d’équipe sera à choisir parmi 3 disponibles, et j’ai refait le jeu plusieurs fois pour voir qui je préfère … Verdict : la paladine !
A la fin de l’histoire vous pourrez embrayer sur les aventures du DLC. Si vous appréciez autant que moi, je pense qu’à la fin du DLC vous en redemanderez d’autre tellement c’est bon de partir dans une aventure avec des compétences bien bourrines. Niveau difficulté, vous n’aurez aucun problème si vous êtes habitués des T-RPG et pourrez commencer en mode difficile, sinon le mode “conte” permettra aux novices de s’initier au genre, et d’apprécier l’aventure. Pas besoin d’être un fan de T-RPG pour y jouer, mais Artefacts Studio et Dear villagers ont su faire plaisir aux fans de T-RPG …
Le jeu est magnifique, même sur Switch, les décors assez variés et tous de bon goût, avec mention spéciale pour les divers WC rencontrés au cours des étages qui ont tous un look particulier. D’habitude je n’aime pas les jeux qui bavardent et je lis les dialogues puis je passe les doublages audio, mais là c’est un pur plaisir de les laisser. J’ai aussi tendance à désactiver les animations de combat mais pas cette fois, c’est un vrai plaisir de voir le barbare balancer son épée/poteau de ligne électrique, ou l’ogre défoncer un ennemi. Tout est bien ajusté pour qu’on ait du fun non stop. Le seul petit reproche que je pourrais faire ce sont les “pièges” du décor que l’on peut détecter avec le voleur en leader du groupe : le voleur est tellement lent, qu’on ne le met jamais en leader, et du coup on se mange les quelques pièges disséminés dans le décor (et ça gâche de la potion), c’est relou mais c’est le jeu, ma brave Lucette …
Voilà je pense que vous l’aurez compris, j’adore ce jeu, il rentre dans mon top RPG of all times, juste après Fire Emblem Path of radiance, Tactics Ogre et Final Fantasy Tactics. ce qui est une très bonne place 😉

[LECTURE] Coup de coeur comics: "Locke & Key"

Lorsque j’ai lu Harry Potter plus jeune, j’ai eu ce que j’ai nommé le syndrome du même nom : « Un dernier chapitre. Allez, celui-ci était petit, encore un autre. Ah non, y a trop de suspense, encore un autre ». Et finalement, je ne le lâchai qu’avec réticence. Lorsque mon vendeur de comics m’a conseillé le premier tome Deluxe de l’édition Locke & Key , il m’a prévenu que je le dévorerai et qu’à peine fini, je reviendrai acheter les 2 derniers tomes. Je ne l’ai pas cru. Pauvre insensée que j’étais…

Je n’avais plus eu le syndrome Harry Potter aussi fort depuis longtemps. En moins de 4 jours, j’ai enchainé les tomes de Locke & Key, scotchée à mon siège.

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Alors, qu’est-ce que Locke & Key ? Scénarisée par Joe Hill, le fils de Stephen King, et dessinée par Gabriel Rodriguez, cette série de comic-book a été publiée de 2008 à 2014. Elle a été éditée en France en 6 tomes séparés puis 3 tomes Master Edition aux éditions Milady Graphics. Elle a plusieurs fois gagné le prix Eisner, dont celui de Meilleur dessinateur et celui de Meilleur Scénariste.

L’histoire se déroule à Lovecraft où, suite au meurtre de leur père, les trois enfants Locke (Tyler, Kinsey et Bode) et leur mère Nina emménagent dans la demeure ancestrale de la famille, Keyhouse. Ils s’aperçoivent bientôt que cette maison renferme de nombreux secrets lorsqu’ils découvrent des clés magiques qui détiennent d’incroyables pouvoirs, comme celui de transformer une personne en fantôme ou d’effacer ses souvenirs. Cependant, ils ne sont pas les seuls à en connaitre l’existence et une créature démoniaque convoite elle-aussi les clés, dans un but nettement moins ludique.

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Vous l’aurez compris au nom-hommage de la ville et au résumé, le surnaturel va être légion. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est que Joe Hill est le digne fils de son papa. On veut en savoir plus, comme les autres personnages, et on le découvre au fil de leurs (souvent périlleuses) aventures ou tragédies. On frissonne à plus d’une planche. Entre le danger encouru par les personnages, les créatures monstrueuses ou les ennemis entre-aperçus au détour d’une case, les nerfs du spectateur sont mis à rude épreuve. J’ai fait le lapsus « spectateur » lors du premier jet de ce billet et je le conserve dans cette mouture car c’est loin d’être anodin : le découpage des pages est fait de telle façon que l’on a l’impression de voir défiler sous nos yeux les plans d’un véritable film. Et en tant que spectateur/lecteur, nous voyons certaines choses qu’ignorent les personnages, ce qui augmente notre angoisse pour eux, et sommes dépendants de leur propre avancée pour en savoir plus sur la maison et ses mystérieuses clés.

Concernant le scénario , il ne fait pas bon être personnage secondaire voire principal. Nous sommes dans un comics d’horreur et les morts se comptent à la pelle, généralement violentes et mises en scène de façon réaliste. Le dessinateur n’épargne pas le lecteur et le scénariste n’épargne pas les personnages, quels que soient leur âge, leur sexe ou leur couleur de peau. Si vous avez des problèmes avec les blessures et le sang, faites attention avant d’ouvrir l’album. La violence psychologique est mise en scène de façon tout aussi saisissante. Le lecteur est vraiment ramené à sa condition d’impuissance et de voyeur, supportant la vue de ces morts dans le but de satisfaire sa curiosité concernant les clés et leur histoire. Il n’y a pas de faux pas dans ce scénario. Il tient en haleine et les rebondissements sont nombreux, souvent imprévisibles. A la fin de l’œuvre, tous les mystères sont résolus et toutes les zones d’ombre sont levées. On pourra reprocher une petite facilité scénaristique dans la conclusion, mais honnêtement, pas de quoi bouder son plaisir.

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Quant aux dessins et à la mise en page, que dire ! Loin de se cantonner à la même mise en page tout du long, Gabriel Rodriguez se permet au sein de certains chapitres, avec la complicité du scénariste, des exercices de style . Les personnages sont gigantesques ? Les cases feront une page chacune. Le chapitre porte sur un mois ? La majorité des jours seront représentés par une unique case avec un jeu sur les ellipses. Le chapitre confronte le point de vue de deux personnages ? Une page sera dans le style réaliste normal et l’autre dans le style Calvin et Hobbes, bande dessinée qu’adore le jeune protagoniste Bode, ce qui renforce d’autant plus l’atrocité de ce chapitre. Les dessins sont détaillés et magnifiques, je n’ose imaginer la somme de travail que les pleines pages, plutôt fréquentes, ont dû demander.

Bref, Locke & Key est mon coup de cœur ultime, encore plus que Providence d’Alan Moore et Jacen Burrows qui est déjà celui de 2016. Je ne peux que vous inciter très fortement à vous précipiter sur cette œuvre.

Je profite de ce billet pour encore remercier Olaf de Central Comics (voir article ici ) qui m’a conseillé le premier tome et a incité mes collègues à m’offrir les 2 tomes manquants pour mon pot de départ.

Pour plus d’informations, je vous invite à aller sur la page de l’éditeur ci-dessus : http://www.milady.fr/livres/view/locke-key–master-edition-volume-i–bienvenue-a-lovecraft-casse-tete

[TEST] 3DS Bravely second : end layer

CTR_SECOND_TS_FRAEt voilà il est enfin là … Je vais juste essayer de vous donner envie sans trop vous en dire, histoire de ne pas vous gacher le plaisir de la découverte que j’ai eu les premières heures de jeu …

Alors déjà une chose, si vous n’avez jamais joué à Bravely Default, arrêtez tout de suite de lire cet article, courrez chez votre revendeur habituel (ou lancez le téléchargement si vous arrivez à supporter le dématérialisé) et passez les 100 prochaines heures à jouer à Bravely Default ! Non pas besoin de dormir ! Prévoyez tout de même un casse dalle ou deux et si vraiment vous en avez besoin faites une pause ou deux ! Allez zou, filez !!!

Voilà c’est bon ? Vous êtes de retour ? Ok on peut commencer ! Bravely Second neN3DS_BSEL_scrn_battle_004 réinvente pas la roue, il prend tout ce qui a fait le succès du premier (ou presque, on y reviendra) et l’actualise pour nous donner quelques heures de jeu de plus. Ce jeu c’est un peu comme la chambre d’ado que vous avez laissé chez vos parents. Quelques années plus tard vous y revenez, pas grand chose n’a changé, vous redécouvrez les posters que vous aviez oubliés, vous redécouvrez la cuisine de maman, et vous vous y sentez bien … On est en terrain connu : le système de combat, la carte, les classes et compétences secondaires, tout y est … Certaines classes ont disparu, d’autres sont arrivées, on s’y retrouve. Sur les combats un peu répétitifs des nouveautés appréciables : on peut enchaîner de suite plusieurs combats (sans récup des points Brave) et un bonus multiplicateur vous est octroyés en cas de succès. Niveau combat on peut enregistrer des techniques et les appliquer en mode automatique : on devient spectateur mais ça permet d’aller plus vite sur les montées de niveau … pratique au début mais c’est vite lassant de n’être que spectateur. Autre nouveauté que je trouve assez pratique c’est la possibilité d’enregistrer des configurations de classes/compétences/équipements : en gros en fonction de qui vous affrontez vous avez plus besoin de vous retaper toute la config du groupe et c’est assez sympathique, je sens bien que ça va être super utile pour les « new game + » …

N3DS_BSEL_scrn_fields_008Après on retrouve tout ce qui a fait le charme du jeu : les streetpass qui sont vraiment utiles dans ce jeu : pour les combats surtout et pour la reconstruction de Norende … pardon de LA LUNE ! Oui cette fois-ci c’est la lune que l’on doit reconstruire, bon c’est pas original mais au moins le principe de Norende qui envoie du matos disponible au marchand est toujours là et on a toujours l’impression que c’est un des rares jeux qui exploite bien le streetpass. Dans les trucs qu’on retrouve et qui font moins plaisir par contre c’est les micros paiements bien dégueulasses pour avoir accès à plus de « Bravely seconds » … Pour tout ce qui est graphisme on retrouve la touche originale qui a fait tout le charme du premier opus, voire certaines villes sont encore plus travaillées.

Si jamais vous aviez trouvé des défauLts (haha) à Bravely Default, vous allez les retrouver, pour ma part l’histoire gentillette mais prévisible du premier m’a bien accroché, les combats répétitifs ne me gênaient pas, bien au contraire, ça me rappelle les jeux de mon enfance. Parlons de la musique : on retrouve les thèmes bien connus de BD, mais pour tout ce qui est nouveau en musique ce n’est pas aussi inoubliable que le premier, c’est pas désagréable mais pas fantastique. En ce qui concerne les personnages, je déplore assez l’absence de Ringabell qui était mon petit préféré, mais d’autres viendront vous conter leurs histoires …

En gros je pense que le jeu va remplir mes heures de transports en commun, et que je vais enchainer les New Game+ comme pour le premier. Si vous aviez aimé Bravely Default, n’hésitez pas pour Bravely Second : end layer !

CTR_SECOND_CE_Box_Content_FR_151109Maintenant la question se pose de l’édition collector ou pas … Je me suis jeté dessus comme un toutou sur un bout de bois lancé par son maître, mais si vous n’êtes pas fan de musique de jeuFIGURINE_BRAVELY_RETOUCH vidéo ou d’artbook je ne vous la conseillerai pas. La statuette cette fois-ci est présentable, pas comme la figurine moisie de la collector du précédent. L’artbook est fantastique mais est ce que cela justifie le prix ? Si vous avez les moyens, et que vous êtes fan foncez, sinon foncez sur le jeu c’est un investissement qui vaut son prix !

Attesté coup de coeur de clem2k.com

[NEWS] A venir : Bravely second 3DS

unnamedBravely default est un des jeux qui m’a réconcilié avec les jeux récents. Un RPG old school mais novateur sur le gameplay, traditionnel et original, une petite merveille qui m’a fait enchainer les NEW GAME+, une direction artistique parfaite à mon goût, une musique qui se laisse écouter même une fois le jeu rangé, des combats prenants, une histoire simple mais pas débile, des personnages à qui on s’attache ou qu’on déteste, un concentré de bonheur vidéoludique pour moi. Le problème c’est que j’ai eu beau le retourner dans tous les sens plusieurs fois et passer plus de 300 heures dessus, maintenant il m’en faut plus et c’est donc avec impatience que j’attendais la suite. Je ne suis pas sûr qu’elle soit aussi prometteuse que le premier épisode (surtout au niveau de la musique, vu que ce ne sont pas les mêmes artistes), mais j’attends beaucoup de cette suite, déjà parce que je suis fan du système de jeu (BRAVE / DEFAULT) et que j’ai envie de découvrir les nouvelles classes de ce RPG … mais surtout parce que je vais avoir du nouveau contenu.

Pour ceux qui ont fait le premier et qui n’ont pas entendu parler de la suite : Le monde de Luxendarc est déchiré par les conflits entourant une religion : l’orthodoxie cristalline. Pour les uns, cette religion est nécessaire car elle protège la lumière des 4 cristaux qui maintiennent l’équilibre de Luxendarc. Pour les autres, notamment le duché d’Éternia, une principauté de Luxendarc, cette religion est signe d’obscurantisme et de refus de modernité. Récemment élue Papesse de l’orthodoxie cristalline, Agnès Oblige représente le renouveau de cette religion et incarne l’espoir d’un monde qui porte encore aujourd’hui les stigmates des conflits passés. En cette journée historique où Agnès Oblige s’apprête à signer un traité de paix avec Éternia, cette dernière est soudainement enlevée par le Kaiser Oblivion, un mystérieux homme masqué. Personne ne connaît ses sombres desseins, ni ceux d’Anne, la fée cristalline qui l’accompagne. Une chose est sûre, la disparition d’Agnès promet un sombre avenir à Luxendarc et son peuple…

« Brave and Default », le système de combat tactique innovant mis en place par Bravely Default, a été enrichi de nouvelles possibilités stratégiques. Les joueurs doivent trouver l’équilibre entre prise de risque et récompenses dans des combats au tour par tour : pendant les combats, vous avez le choix d’utiliser des actions Brave ou bien Default. Avec Brave, vous pouvez attaquer deux fois lors d’un même tour, mais vous ne pourrez pas attaquer le tour suivant. Si vous utilisez trois fois Brave, vous pourrez faire trois attaques supplémentaires lors de votre tour, mais vous ne pourrez pas attaquer lors de vos trois tours suivants. Avec Default, vous passez en mode défense et subissez moins de dégâts si vous êtes attaqué mais vous gagnez 1 PB (Point Brave) qui vous permettra de faire une attaque supplémentaire lors d’un prochain tour ! Gérez vos PB pour devenir intraitable ! Vous pouvez aussi maintenant vous faciliter le leveling en enregistrant vos combinaisons préférées de classes et d’équipements : passez d’une équipe défensive à une équipe offensive ou personnalisée en un clin d’oeil ! Pendant les combats, accélérez la vitesse des différentes actions pour aller plus vite !

Pour sortir vainqueurs des combats et venir à bout d’ennemis chaque fois plus puissants, les joueurs auront à leur disposition pas moins de 30 classes de personnages, dont 12 nouvelles classes, comme le Félinomancien, un guerrier pouvant apprendre les compétences des ennemis et communiquer avec les félins ou le Yôkai, un adepte du diabolisme pouvant invoquer les démons ! À mesure que les personnages acquièrent de l’expérience en participant à des combats, ils apprennent de nouveaux talents et compétences, vous offrant de nouvelles possibilités tactiques inédites.

À sa sortie le 26 février, le jeu sera proposé dans une édition Collector comprenant le CD de la bande originale du jeu, une mini figurine d’Agnès* ainsi qu’un artbook luxe de 250 pages. Le jeu sera également disponible seul ainsi qu’en version téléchargeable sur le Nintendo eShop.

En guise de prologue à l’aventure principale, une démo de pré-lancement mettant notamment en scène les Trois Cavaliers (Yew Généolgia, Janne Angard et Nikolaï Nikolanikov) permettra aux joueurs, en fonction de leur progression dans la démo, de débloquer des objets et de l’équipement qu’ils pourront ensuite transférer à la version complète du jeu en ! Cette démo sera disponible gratuitement sur le Nintendo eShop à partir du 11 février.

Avec son immense univers à explorer, son système de combat hautement tactique et sa multitude de contenus à découvrir, Bravely Second: End Layer s’apprête à donner le coup d’envoi à une grande année de titres RPG sur les consoles de la famille Nintendo 3DS ! Le jeu sera disponible en Europe à partir du 26 février prochain.

[TEST] "Theatrythm Final Fantasy : Curtain Call" : une suite attendue.

Ayant énormément apprécié le premier volet de « Theatrythm Final Fantasy » et ayant pu tester le 2ème volet rapidement à Japan Expo, j’étais assez impatiente de pouvoir jouer pour de bon au 2ème volet, « Theatrythm Final Fantasy : Curtain Call ». Bilan après plus de 15 heures de jeu, cet opus est aussi bon que le précédent, voire meilleur.

 Plus de chansons.

Rien de nouveau au niveau du système de jeu en lui-même, pas grand chose. Il s’agit toujours de taper en rythme l’écran tactile en essayant de faire le plus de Critical possible pour faire le meilleur score. Petite nouveauté mais pas des moindres pour les joueurs qui voudraient avoir encore un écran de 3DS après le jeu : on peut à présent jouer aux gâchettes et à la croix directionnelle ou choisir un système de jeu incluant stylet et gâchettes pour ceux et celles qui n’arriveraient pas à se décider. Les phases de jeu sont toujours de 3 sortes : « Battle » avec 4 lignes à gérer (une par personnage), « Field » avec une seule ligne à suivre, ce qui finit par se révéler assez difficile en mode Ultimate et, quasiment absent de cet opus, le mode « Event Music» couplé à une vidéo, utilisé ici uniquement pour les jeux les plus récents. Le mode « introduction » et « conclusion » où il fallait tapoter le cristal plus ou moins en rythme juste pour augmenter le nombre de Ryhtmia a disparu, ce qui est plutôt une bonne chose étant donnée qu’il n’était pas très ludique.

Le catalogue de chanson est vaste et il est difficile d’en faire le tour : plus de 220 titres disponibles dont certains de Dissidia ou de Chocobo Tales et d’autres en version longue par rapport au précédent opus (on imagine que cela contient les DLC de l’opus précédent). Les notations vont jusqu’à SSS pour une chanson réussie avec toutes les notes parfaites. Il y a 3 niveaux : Basic (assez lent, peu de variété de touches), Expert (plus rapide, beaucoup de touches) et Ultimate (trèèèèèès rapide). Pour les vrais hardcore, il est possible d’ajouter le niveau « Ultimate debout dans la ligne 4 du métro parisien » (un des métros le plus brusque dans ses nombreux ralentissements et freinages).

Plus de personnages.

Les décors qui défilent durant les phases de jeu sont beaux, les personnages équivalents niveau design à l’épisode précédent et nombreux (même si malgré ça, certains restent réservés à l’achat en DLC). Comme dans le précédent opus, chacun a ses propres habiletés qu’il acquiert au fur et à mesure qu’il monte de niveau. Le côté RPG de ce jeu musical est ce qui en fait son intérêt : on voudra à tout prix monter le maximum de personnages au niveau 99. De plus, plus les habiletés des personnages et leur niveau sont élevés, plus il est facile dé gérer les chansons ou les niveaux difficiles.

Plus de modes.

En plus de cet ajout de chansons, 2 nouveaux modes de jeux viennent étoffer cette version  dont l’un des plus attendus étaient sans doute le mode Versus : la plupart des personnages et chansons étant  à débloquer, il vous faudra cependant jouer quelques chansons puis, une fois le mode Quest débloqué, en faire une avant de pouvoir y accéder. Vous pouvez à présent prouver votre dextérité en combattant un adversaire de votre choix, humain ou virtuel, en local ou par Internet, à une chanson en mode Battle. Mais attention, ici, un mode bonus aléatoire permet d’envoyer vers votre adversaire des petites joyeusetés comme les touches qui apparaissent au dernier moment, l’obligation de faire une note parfaite pour qu’elle soit validée, les flèches qui tournent sur elle-même ou les notes qui vont à toute vitesse… Inutile de vous dire que même en mode Basic, il faut avoir une bonne maitrise des chansons pour réussir à avoir le rang SSS.

L’autre nouveau mode vient remplacer les ensembles « Field-Battle-Event Music» proposé par jeux de la saga et la quête des joyaux, relativement dure,  du précédent opus. Il s’agit du mode Quest : des niveaux de longueur variée vous menant à un boss, proposant des chansons plus ou moins dures en fonction de niveau de la quête, en mode Field et Battle et surtout, des objets et des joyaux (vous permettant de débloquer de nouveaux personnages) à gagner. Vous surprendrais-je vraiment en vous disant qu’il faut de longues (dizaines d’) heures et une très grande maitrise du jeu avant de voir ne serait-ce que le bout du nez de Sephiroth ?

 Bilan 

En bref, oui, cet opus ne révolutionne pas le précédent et est surtout une amélioration du précédent que ce soit dans sa durée ou sa variété. Mais c’est si plaisant de jouer avec ces personnages en mode chibi et les magnifiques compositions des jeux Final Fantasy. Même en n’étant pas fan des Final Fantasy, voire en ayant joué à aucun (ce qui est mon cas), vous apprécierez sûrement ce jeu musical qui est un des meilleurs de la console.

NDLR : La Rédaction tient à préciser que les photos de la galerie prises durant les niveaux proviennent du mode Démo du jeu.

[NEWS] OGGY : l'appli des vacances disponible dès aujourd'hui dans l'AppStore et Google play !

communique_appli_oggy_11_07.002A partir d’aujourd’hui, vous avez une mission : aider Oggy à rattraper les Cafards et à se débarrasser d’eux à grands coups de tapette et autres objets surprenants, tout en évitant les obstacles qu’ils mettront sur sa route pour le ralentir !

Le jeu développé par Xilam Animation et Playsoft Games est disponible gratuitement dès aujourd’hui sur iOS et Androïd avant la sortie du long-métrage d’animation Oggy et les Cafards sur les écrans français le 7 Août 2013.

Iconoclaste, provocateurs, drôles et émouvants, dignes héritiers de l’âge d’or du cartoon, Oggy et les Cafards ont séduit plusieurs générations de téléspectateurs et constituent un des plus beaux succès de l’animation française. La série animée produite par Xilam Animation est actuellement diffusée dans plus de 150 pays et notamment sur les 3 grands networks américains : Cartoon Network, Nickelodeon et Disney Channel). Elle est multi diffusée en France depuis 15 ans et continue de rencontrer un vif succès sur France 3, Canal+ et Télétoon+.

[NEWS] Le retour du TRPG mythique : Fire Emblem sur 3DS

nfr_cdp_fire_emblem_awakening1.003Depuis Fire Emblem Path of Radiance sur Nintendo Gamecube, je n’ai pas retrouvé beaucoup de Tactical RPG qui me fasse vibrer, il y avait eu le fabuleux remake de Tactics Ogre sur PSP, puis le désert pour moi … Autant dire que je l’attends ce petit bijou annoncé …

Vous êtes le dernier espoir pour sauver les royaumes d’Ylisse et Plegia, à vous de mener vos unités avec brio lors de batailles tactiques au tour par tour… en exclusivité sur Nintendo 3DS !

Dans Fire Emblem: Awakening, chacun peut créer son propre personnage et lui faire vivre une aventure 100% RPG. Retrouvez le Prince Chrom et les Shepherds, calmez l’animosité entre les royaumes d’Ylisse et de Plegia, et évitez un conflit généralisé alors qu’une gigantesque horde de soldats morts-vivants menace le monde. En tant que général de votre armée, élaborez un plan pour surpasser et écraser vos ennemis lors de batailles au tour par tour en utilisant à bon escient les capacités uniques de vos unités. Vivez les batailles à travers des scènes cinématiques : vous pouvez même sélectionner l’angle de la caméra et admirer les coups de grâce en vue subjective !

Constituez une formidable armée de héros au gré de vos rencontres. Ces combattants deviendront plus puissants et plus efficaces sous votre commandement et des liens d’amitiés naitront entre eux. Ils pourront même se marier et donner naissance à des enfants qui, à leur tour, combattront aux côtés de leurs parents. Vous pouvez donc choisir de jouer les entremetteurs pour réunir les amoureux, ou au stratège pour créer la plus formidable des armées. Les relations qui se tissent entre vos héros transforment l’aventure de chaque joueur en une expérience unique. Le gameplay classique de Fire Emblem, dans lequel les personnages vaincus aux combats disparaissent est à nouveau disponible. En revanche, le Mode« Débutant » permet de découvrir cette saga en récupérant les héros vaincus dès le combat suivant.

Vous pouvez désormais admirer de somptueuses scènes cinématiques en 3D, entièrement doublées en anglais et en japonais, mais aussi utiliser de nouvelles tactiques. Placez ainsi stratégiquement vos personnages sur le champ de bataille pour augmenter le Soutien, les relations entre les combattants et le travail d’équipe. Enfin, relevez les nouveaux défis coopératifs en connectant votre Nintendo 3DS et votre jeu à ceux d’un ami pour, chacun votre tour, tenter de vaincre de coriaces ennemis.

Pour la toute première fois dans l’histoire de la série, vous pouvez enrichir votre aventure et télécharger des contenus additionnels via SpotPass ou via des téléchargements payants disponibles dès la date de lancement. Via SpotPass, vous rencontrerez des équipes légendaires provenant des autres volets de la saga Fire Emblem, vous recevrez gratuitement des objets spéciaux, de nouvelles cartes et des défis coopératifs. Via les téléchargements payants, vous pourrez repousser les limites de votre campagne principale en obtenant de nouveaux scénarios de combat : découvrez ainsi l’histoire secrète des personnages, obtenez de nouveaux héros dans votre équipe et transférez dans votre campagne des points d’expérience, des objets et des pièces d’or. Enfin, la première carte additionnelle pourra être téléchargée gratuitement pendant une durée limitée, et cela dès le lancement du jeu. Profitez-en pour recruter un personnage spécial de la saga et l’utiliser dans votre aventure !

Fire Emblem: Awakening en Europe, est déjà un succès critique outre-Atlantique, voici quelques-unes des revues sur le jeu :

The Escapist, 10 sur 10 – « Un jeu qui fait acheter une 3DS. »

IGN, 9,6 sur 10 – « Le RPG tactique le plus fluide et éblouissant à paraître sur une console portable » 

Metro, 9 sur 10 – « Ce volet propulse la série au rang de classique et, dans la foulée, donne naissance à l’un des jeux de stratégie les plus captivants et accessibles de l’histoire. »

Gamespot, 8,5 sur 10 – « Un bijou de gaming »

 

[NEWS] Avec SimCity, jouez avec 16 villes dans une même région

Depuis l’annonce de SimCity,  les fans nous demandent combien de villes seront jouables dans une même région. Aujourd’hui, Maxis confirme qu’il sera possible d’y construire jusqu’à 16 villes. Et comme il s’agit d’une expérience multiville, vous pourrez gérer ces villes seul, avec vos amis, ou avec le reste du monde. Dès le début, vous pourrez obtenir toutes sortes d’informations sur la région : qui y joue, quelles villes sont disponibles, quels chantiers sont en cours, et surtout, quelles ressources et avantages sont à votre disposition. Vous voulez devenir un magnat du charbon ? Cliquez sur une des villes disponibles et voyez quelle quantité de charbon sommeille dans les sous-sols. Vous n’avez aucune ressource  ? Construisez-vous une « Ordutopia » et mettez-vous en plein les poches en ramassant les ordures de votre voisin. C’est ça, SimCity : un gameplay multiville, où chacune des villes a un rôle spécialisé qui peut propulser la région vers de grandes destinées. Vous décidez si vous souhaitez gérer toute la région tout seul, inviter des amis à jouer avec vous, ou vous faire de nouveaux amis et jouer dans une région ouverte.
Quel genre de ville construirez-vous ? Découvrez-le dès le 7 mars 2013 (sortie sur PC).



Test TERA Partie 1


Bonsoir à toutes, ici Rellik pour un test vidéo de TERA!
Ce test sera divisé en deux parties: la première qui montre l’interface et la création de son personnage et la seconde montrera le niveau d’introduction.
Au programme de beaux graphismes, des théories sur le background, une histoire de culotte, et encore de beaux graphismes!
 
Let’s go pour la première partie !
 
 
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