[TEST] 3DS Bravely second : end layer

CTR_SECOND_TS_FRAEt voilà il est enfin là … Je vais juste essayer de vous donner envie sans trop vous en dire, histoire de ne pas vous gacher le plaisir de la découverte que j’ai eu les premières heures de jeu …

Alors déjà une chose, si vous n’avez jamais joué à Bravely Default, arrêtez tout de suite de lire cet article, courrez chez votre revendeur habituel (ou lancez le téléchargement si vous arrivez à supporter le dématérialisé) et passez les 100 prochaines heures à jouer à Bravely Default ! Non pas besoin de dormir ! Prévoyez tout de même un casse dalle ou deux et si vraiment vous en avez besoin faites une pause ou deux ! Allez zou, filez !!!

Voilà c’est bon ? Vous êtes de retour ? Ok on peut commencer ! Bravely Second neN3DS_BSEL_scrn_battle_004 réinvente pas la roue, il prend tout ce qui a fait le succès du premier (ou presque, on y reviendra) et l’actualise pour nous donner quelques heures de jeu de plus. Ce jeu c’est un peu comme la chambre d’ado que vous avez laissé chez vos parents. Quelques années plus tard vous y revenez, pas grand chose n’a changé, vous redécouvrez les posters que vous aviez oubliés, vous redécouvrez la cuisine de maman, et vous vous y sentez bien … On est en terrain connu : le système de combat, la carte, les classes et compétences secondaires, tout y est … Certaines classes ont disparu, d’autres sont arrivées, on s’y retrouve. Sur les combats un peu répétitifs des nouveautés appréciables : on peut enchaîner de suite plusieurs combats (sans récup des points Brave) et un bonus multiplicateur vous est octroyés en cas de succès. Niveau combat on peut enregistrer des techniques et les appliquer en mode automatique : on devient spectateur mais ça permet d’aller plus vite sur les montées de niveau … pratique au début mais c’est vite lassant de n’être que spectateur. Autre nouveauté que je trouve assez pratique c’est la possibilité d’enregistrer des configurations de classes/compétences/équipements : en gros en fonction de qui vous affrontez vous avez plus besoin de vous retaper toute la config du groupe et c’est assez sympathique, je sens bien que ça va être super utile pour les « new game + » …

N3DS_BSEL_scrn_fields_008Après on retrouve tout ce qui a fait le charme du jeu : les streetpass qui sont vraiment utiles dans ce jeu : pour les combats surtout et pour la reconstruction de Norende … pardon de LA LUNE ! Oui cette fois-ci c’est la lune que l’on doit reconstruire, bon c’est pas original mais au moins le principe de Norende qui envoie du matos disponible au marchand est toujours là et on a toujours l’impression que c’est un des rares jeux qui exploite bien le streetpass. Dans les trucs qu’on retrouve et qui font moins plaisir par contre c’est les micros paiements bien dégueulasses pour avoir accès à plus de « Bravely seconds » … Pour tout ce qui est graphisme on retrouve la touche originale qui a fait tout le charme du premier opus, voire certaines villes sont encore plus travaillées.

Si jamais vous aviez trouvé des défauLts (haha) à Bravely Default, vous allez les retrouver, pour ma part l’histoire gentillette mais prévisible du premier m’a bien accroché, les combats répétitifs ne me gênaient pas, bien au contraire, ça me rappelle les jeux de mon enfance. Parlons de la musique : on retrouve les thèmes bien connus de BD, mais pour tout ce qui est nouveau en musique ce n’est pas aussi inoubliable que le premier, c’est pas désagréable mais pas fantastique. En ce qui concerne les personnages, je déplore assez l’absence de Ringabell qui était mon petit préféré, mais d’autres viendront vous conter leurs histoires …

En gros je pense que le jeu va remplir mes heures de transports en commun, et que je vais enchainer les New Game+ comme pour le premier. Si vous aviez aimé Bravely Default, n’hésitez pas pour Bravely Second : end layer !

CTR_SECOND_CE_Box_Content_FR_151109Maintenant la question se pose de l’édition collector ou pas … Je me suis jeté dessus comme un toutou sur un bout de bois lancé par son maître, mais si vous n’êtes pas fan de musique de jeuFIGURINE_BRAVELY_RETOUCH vidéo ou d’artbook je ne vous la conseillerai pas. La statuette cette fois-ci est présentable, pas comme la figurine moisie de la collector du précédent. L’artbook est fantastique mais est ce que cela justifie le prix ? Si vous avez les moyens, et que vous êtes fan foncez, sinon foncez sur le jeu c’est un investissement qui vaut son prix !

Attesté coup de coeur de clem2k.com

"Vampire en toute intimité": un documentaire qui a du mordant !

VAMPIRES EN TOUTE INTIMITE-DVD Blu-rayEn 2006, Jemaine Clement et Taika Waititi, réalisateurs néo-zélandais, réalisent un court-métrage ,  What we do in the Shadows (littéralement : « Ce que nous faisons dans l’ombre »), sur une colocation de vampires . Ils reprennent l’idée en 2014, cette fois-ci pour un long-métrage du même nom. Dans une petite maison cohabitent Vladislav (interprété par Jemaine Clement et inspiré de Vlad l’Empaleur alias Dracula), Viago (interprété par Taika Waititi et inspiré de Louis dans Entretien avec un Vampire), Deacon (inspiré de Lost Boys) et le doyen Petyr plus discret (inspiré par Nosferatu). On assiste, toujours avec beaucoup d’humour, à l’apprentissage de la vie vampirique par le nouveau vampire Nick, à l’arrivée du nouveau colocataire humain, leurs sorties en ville, leurs « chasses », les heurts avec les loups-garous… Documentaire oblige, les événements filmés à l’épaule sont régulièrement entrecoupés par des passages où chaque vampire commente ou explique la situation. Les effets spéciaux savent se faire oublier et les situations sont filmées de façon tellement réalistes qu’on finit par croire à l’existence de cette colocation. Le tout est surtout très drôle, le film jouant sur les différents stéréotypes des vampires et sur la difficulté pour eux de s’intégrer au monde moderne. C’est à mon avis le seul film où vous verrez un vampire faire la vaisselle ou le ménage : même Edward Cullen ne s’était pas adapté à ce point !

Passons à présent à la version française : effectuée par Nicolas Charlet et Bruno Lavaine, celle-ci se veut une adaptation inédite mais fidèle. Les 2 compères, plus connus sous le nom de Nicolas et Bruno, ont écrit le scénario adapté du roman 99 Francs (un de mes films et livres préférés), réalisés l’adaptation française de The Office (Le Bureau) pour Canal + ou encore réalisés récemment  Le Grand Méchant Loup , un divertissement assez honnête. Mais ce sont aussi des habitués du détournement : c’est à eux que l’on doit Message à caractère informatif, où ils doublaient de façon parodique des films institutionnels ou encore Amour, Gloire et débat d’idées où ce processus était appliqué à une telenovela vénézuélienne. C’est ce procédé qui est appliqué pour What we do in the Shadows, renommé Vampires en toute intimité pour la version française.

Adaptation française oblige, la petite ville devient Limoges, Viagio devient Aymeric, Vladislav devient Geoffroy (ce que je regrette car l’on perd l’allusion claire à Vlad/Dracula), Deacon devient Miguel et Petyr, Bernard. Pour ce détournement, les deux compères s’adjoignent les services d’Alexandre Astier dans le rôle de Vladislav/Geoffroy, qui colle parfaitement au rôle, Fred Testot dans le rôle de Deacon/ Miguel et Bruno Salomone dans le rôle de Nick/ JC. Le doublage est bon, même si fait de façon « détournement » et donc peut-être un peu plus marqué dans le parodique que l’original. On s’y fait cependant très vite. Je n’ai eu l’occasion de voir que des extraits de l’oeuvre en version originale pour le moment (même si je compte bien me rattraper très vite) et il m’est donc difficile de faire un comparatif réel de ce point de vue de là, d’autant plus que la majorité du comique vient d’un comique de situation. En ce qui concerne l’équipe du site, en tout cas, nous avons bien accroché aux dialogues français et au film en général.

Le film a d’abord été mis en disposition en E-cinéma le 30 octobre 2015 (il n’est plus disponible sur ce circuit de diffusion). Depuis le 27 janvier, il est disponible en DVD, bluray et VOD et distribué par Wild Side. Nous vous conseillons vivement son achat : ce documentaire imaginaire apporte sur les vampires un coup de frais salutaire. Qui plus est, si vous êtes comme moi fan de ses créatures aux dents pointues, vous ne pourrez qu’apprécier les différentes allusions aux oeuvres existantes. C’est réellement notre coup de coeur de début d’année !

[NEWS] WAKFU souffle ses 4 FUgies et passe en mode gratuit !

d3259e8e-0fff-4199-afc4-635866f3debeAnkama prépare un anniversaire FU FU FU, pour célébrer les 4 ans de WAKFU ! Premier cadeau fou fait aux fans, le jeu est désormais disponible en mode « free to play », partout dans le monde. C’était un souhait de longue date émis par une partie de la communauté française qu’Ankama concrétise. Une occasion unique pour les joueurs de (re)découvrir l’univers humoristique et burlesque de WAKFU et ses dernières nouveautés.

Aussi, Ankama prépare une semaine festive à partir du 22 février 2016. Plusieurs événements sous forme de concours avec des cadeaux à gagner seront organisés sur le site web de WAKFU et sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter : des accès à la classe Huppermage, des emotes, des titres pour les personnages, des fonds d’écrans, des décorations pour Havre-Sac, etc.

A noter que la thématique 2016 de Wakfu est « donjons et défis ». De nouveaux donjons seront produits (70 sont déjà dans le jeu), ainsi que de nouvelles familles de monstres associés. Les défis mettront en avant des challenges in-game, à réaliser seul ou en équipe, que ce soit en jouant contre des monstres ou en PVP.

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