SNIPER : GHOST WARRIOR 2 sortira le 21 AOÛT 2012

Square Enix France et City Interactive, développeur et éditeur international de produits de divertissement interactif, annoncent aujourd’hui la sortie de SNIPER : GHOST WARRIOR 2 le 21 Août 2012. Cette suite au FPS vendu à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde, sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC, utilise le moteur de jeu de haute qualité CryENGINE 3, pour proposer l’expérience vidéoludique de sniper la plus authentique à ce jour. Il y a soldat et tireur d’élite. SNIPER : GHOST WARRIOR 2 est le seul FPS multiplateforme exclusivement conçu autour de l’expérience de tireur d’élite et, grâce aux capacités avancées du CryENGINE 3, le jeu délivre des environnements aux graphismes époustouflants, davantage de défis de sniper, une refonte de l’I.A. et de la précision du « one shot, one kill » qui a fait le succès mondial du précédent titre. Avec des niveaux d’un réalisme jamais vu auparavant dans l’armement, la trajectoire des balles et les décors, SNIPER : GHOST WARRIOR 2 propose l’expérience de tir ultime pour les fans du genre.

Pour plus d’informations sur SNIPER : GHOST WARRIOR 2, veuillez visiter le tout nouveau site web http://sniperghostwarrior2.com/

[TEST] RAGE

Un nouveau chroniqueur sur Clem2k.com nous donne son avis sur son expérience de jeu sur RAGE. N’étant pas un fan de FPS (ça me dérange physiquement, j’ai des nausées quand je joue), bref, quand un nouveau chroniqueur arrive et qu’il me propose son avis sur un FPS bah moi je dis BANCO donc je vous présente un article d’Hannibal47 sur le jeu RAGE :

Comment vous présenter RAGE, un jeu made in Bethesda, à qui on doit la magnifique série des FallOuts, et ID software reconnu pour les très nombreux Doom, Quake, jen passe et des meilleurs. Pour vous résumer la chose, prenez un shaker, mettez une fin du monde, des ennemis divers et variés, un tempérament à la Doom, et arrosez le tout d’un soupçon de Mad Max et vous obtenez RAGE.

Alors l’histoire, comme tous les jeux post-apocalyptique, elle ne casse pas des barres. La terre a été dévasté par un météore (pour une fois que l’homme n’y est pour rien), et des survivants ont été placés dans des sortes d’abris appelés des arches. Je me réveille donc de ce sommeil cryogénique, et en voiture Simone. A ma sortie, après une (presque) crise cardiaque due a un bandit qui as dû me confondre avec un péon du coin, voilà donc le début dune grande aventure où il va falloir, comme d’habitude, jouer les larbins sans cervelle et faire les petites courses des uns et des autres. Les missions sont assez variées, mais on reste dans le banal, on avance dans la zone d’un gang et on déchiquette tout ce qui se trouve sur son chemin afin de trouver un objet à ramener, ou un mec a tuer. Quelques missions annexes où il s’agit de couvrir une personne à laide d’un sniper, daller réduire en bouillie un groupe de bandits qui enquiquine le patron du bar du coin,  ou quelques mini-jeux ou courses en voiture viennent rajouter un petit plus à l’expérience de jeu. Tout un panel de mini-jeux d’argent s’offre également à vous, histoire de se faire quelques ronds pour aller acheter un peu d’objets et ne pas se retrouver en panne en plein milieu dune cache ennemie.

Passons au gameplay :  à tous les fan de FPS pur et dur, vous allez être aux anges!!! Ca bourine, ça tire dans tout les sens, et des tonnes dhémoglobine viendront tapisser le sol pour peu que vous soyez équipé comme il se doit. Dans lensemble, le jeu est assez maniable, même si il arrive de rager parce que votre tir passe juste au dessus de la tête dun ennemi alors que votre viseur est dessus. Sinon, question arsenal, cest le moment de samuser : 9 armes et des munitions améliorées pour quasiment toutes sont a votre disposition pour anéantir tout ce qui se dresse sur votre chemin. Du flingue de base, qui crache tout son chargeur en une rafale, au shotgun à balles explosives ou encore le wingstick, sorte de boomerang tranchant à la Mad max, il y en aura pour tout les goût. A vous dadapter votre stuff et vos munitions en fonction de la situation et de votre style de jeu. Pensez seulement à partir bien équipé, qui sait sur quoi on peut tomber une fois seul dans le wasteland

Vous me direz que cest bien joli toutes ces armes, mais sur quoi je vais pouvoir lâcher toute ma hargne dune sale journée? Une fois de plus, les studios ont fait du bon boulot, les ennemis sont assez variés et aucun deux naura la même approche de la situation. Par exemple, au début du jeu, vous pouvez tomber sur un pauvre mutant qui a lair un peu faiblard, jusquau moment où celui-ci se met à sauter dans tous les sens et contre les murs pour vous taillader la tête, ou encore les forces de lautorité qui se cachent derrière leur tourelle ou autre bouclier énergétique. La présence de quelques boss viendra aussi agrémenter tout ça mais chut, pas de spoil

Les combats en voiture sont sympathiques, mais on est loin de la maniabilité d’un Motorstorm. Les routes sont malheureusement vides de toutes carcasses de voitures ou autres joyeusetés de ce genre que l’on attend d’un monde post-apo. Quelques rares téméraires et suicidaires véhicules ennemis viendront essayer de transformer votre bolide en tas de boue, mais grâce a un matériel assez varié, vous ne vous lasserez pas de voir des tonnes de ferraille prendre feu et voler dans tout les sens. Une ambiance qui rappelle ce bon vieux Vigilance 8 avec ces mines et autres gadgets bien fun.

L’interface est assez simple malgré un inventaire assez chaotique. On se retrouve vite à ne plus savoir où sont passés nos petits gadgets meurtriers ou nos très chères grenades. Point super positif, pas besoin de courir à l’autre bout de la map pour crafter un objet, car cette action se réalise a partir de votre inventaire, donc vous avez la possibilité de créer un drone sentinelle, sorte de petite araignée méca, en plein combat si la situation devient vraiment trop ardue.

Dernier point, et non des moindres, l’aspect général du jeu. Malgré des décors somptueux et un souci du détail minutieux, aussi bien pour les armes que pour les ennemis, il est fréquent que le moteur graphique parte en cacahuète et que l’on se retrouve avec un vieux pan de mur tout crade au milieu dune si joli vue. Les effets de fumée ainsi que ceux du feu sont bien rendus et ne font pas tache en pleine action. Les bandes sons et les musiques nous mettent tout de suite dans l’ambiance et permettent de s’immerger complètement dans le jeu.

En résumé, voila un bon jeu pour les fan de FPS à lancienne qui désirent renouer avec les vieilles formules d’antan.

Dossier Zombie : Part IV

Pour cette quatrième partie j’ai envie de vous faire part de mon expérience avec cette créature de fantasme. J’ai du mal à me souvenir de mon premier contact avec ces êtres en décomposition, je me souviens par contre de la première fois ou j’ai vu le clip Thriller de Michael Jackson, je me souviens que le clip passait à la télé et que je suis parti dans ma chambre jouer avec mes G.I. Joe parce que j’ai eu peur … Plus tard j’ai repris contact avec un peu plus de confiance dans un jeu megadrive « Zombies ate my neighbors », un petit jeu qui m’avait bien plu à l’époque, il faudrait que je dépoussière la cartouche pour voir si le jeu n’a pas mal vieilli … Un autre jeu Megadrive, sur lequel j’ai passé pas mal de temps et dans lequel j’ai retrouvé ceux qui m’avaient terrorisé c’est « Moonwalker », ou on retrouve dans un niveau les fameux zombies de thriller. J’ai donc découvert les zombies plus au travers des jeux vidéos et grace à Michael Jackson que grace au cinéma.

Un peu plus tard, en 1992, encore un jeu vidéo, du grand Frédérick Reynal, j’ai incarné pendant de longues heures Edward Carnby, et j’ai eu à en découdre avec quelques zombies, et j’avoue que c’est le premier jeu qui m’a foutu la trouille. Outre la prouesse technique que j’admirais, le jeu a été le premier à me plonger dans une ambiance horrifique, malsaine, et j’en redemandais. J’ai été assez fou pour jouer tard le soir, dans le noir, avec un casque, et du haut de mes 14 ans je n’en menait pas large à chaque couinement de porte …

J’ai, plus tard encore, comme tout le monde succombé à Resident Evil sur Playstation et c’est comme ça que j’ai retrouvé les zombies, ado je n’ai pas accroché aux zombies et je suis sans doute passé à coté de pas mal de films. Resident Evil m’a marqué surtout par son ambiance, qui m’a rappelé les heures passées sur Alone in the Dark. Mais le problème c’est que je n’ai jamais vraiment accroché à la série, et que je ne suis jamais devenu fan du genre. J’ai fait plusieurs tentatives, mais aucune n’a réussi à me convertir. Par contre j’ai bien aimé les films (à part le dernier), et là je sais que je vais faire hurler les fans de la série, dont mon très cher ami tonton blacky ! Je ne suis pas fan de la série résident evil donc il est plus facile pour moi d’accrocher à un film sur le jeu ne connaissant pas ou peu le jeu en question. Il s’appellerait Alice VS the zombies ça serait pareil pour moi … Donc niveau films j’ai enchainé les 3 premiers dans la même journée et je dois avouer que j’ai été séduit par l’esthétique et l’ambiance générale du film, malgré les défauts évidents de toutes méga production qui tente de plaire au plus grand nombre.

Pour continuer sur le cinéma, je suis un grand fan des films qui traitent le sujet avec humour : Shaun of the dead est un bijou à mes yeux, il comporte des scènes qui me font hurler de rire et même la 10ème fois ! Bienvenue à Zombieland à apporté un petit plus en introduisant un mode d’emploi à la survie, et j’ai vraiment aimé aussi. Niveau séries télé, j’ai bien aimé the Walking dead, gore, percutante, et assez bien ficelée, surtout au début … Après j’aime bien les grands classiques de Romero, et j’ai aussi quelques films honteux à mon actif comme Zombie Strippers … oui ok j’avoue, on me promets des boobs et moi je me jète dedans la tête la première … En fait ce que j’aime dans ce cinéma c’est de voir une situation normale, de tous les jours, une contamination (due à la bêtise humaine la pluspart du temps) et de voir comment ça se propage et à quelle vitesse. La viralité du truc m’intéresse plus que la créature en elle même en fait sur le cinéma. J’aime bien quand on me montre comment on est passé du patient 0 à quelques survivants sains … sauf quand c’est traité sur le thème de l’humour. Rien à voir avec les zombies mais une scène que j’ai adoré c’est dans la momie ou pour échapper aux troupe de la momie les protagonistes se font passer pour des zombies …

Niveau jeux vidéo dans les next gen, celui qui m’a le plus éclaté c’est Dead rising, j’ai passé des heures à décapiter du zombie avec tout ce qui me tombait sous la main. J’ai vraiment pris mon pied dans ce bac à sable géant, un défouloir comme j’adore, ou on massacre à peu près tout ce qui remue un orteil ou une oreille !

Dans la vraie vie, j’ai eu la chance de participer à une Zombie Walk, à Rennes, j’ai vraiment aimé le concept, tout se passait dans la bonne humeur sous l’étonnement et l’amusement des passants. Une expérience que j’ai pu vivre de l’intérieur, une sorte de cour de récréation immense ou de grands gamins jouent aux gendarme et au voleur dans les rues, ou plutôt au zombie et au meatbag ! Ce qui a été extrêmement rigolo c’était de voir les vestiges de la zombie walk le lendemain, comme les traces de main ensanglantées sur les vitres du métro, ou les flaques de sang dans la rue, voire quelques restes de boyaux dans la rue !

J’ai donc une relation de casual avec le zombie, mais grâce à la médiathèque de ma ville je peux découvrir tout un tas de films qui sont des classiques, du coup je m’intéresse de plus en plus au sujet, ce qui m’a donné envie de faire ce dossier en fait ! Pour l’avenir, il y a un jeu qui me tarde de découvrir, c’est Lolipop Chainsaw, comme je le disais plus haut si on me promet du boob et du zombie je dis oui, si en plus le jeu est bien rock and roll, et si on a une subtilité équivalente à mon god of war fétiche, je n’ai aucune raison d’opposer une résistance quelconque. Niveau cinéma je compte sur mon médiathécaire préféré pour me fournir en bons films ou en nanards zombies (je suis fan de tout ce qui est kitsch et honteux mais ça vous le savez hein ^^). Tout ce que je peux dire c’est que j’aime le fait que les zombies remplacent un peu les vampires qui brillent au soleil, ces vampires me sortent un peu par les trou de nez !

A suivre pour le dossier, une rencontre avec un studio d’effets spéciaux, je sens que vous allez aimer !!!

REAL STORIES VETERINAIRE CHRONIQUE – DS

Lorsqu’on est coincé au lit, on se dit qu’on ne peut pas tomber plus bas… Alors quoi de pire que de chroniquer un jeu de la Vitrine de la Honte de Clem ? Rien. Ah si, une pénurie de mouchoirs ou de cookies. Ne parlons pas de malheur et découvrons donc ce que réserve cet « épisode » de la série Real Stories sur DS… Je voulais être vétérinaire quand j’étais gamine, voyons si j’aurais pu m’en sortir hehe.

Une petite musique d’ascenseur m’accueille… Bon un menu de base hein, les seules options disponibles sont le volume de la musique et des bruitages, allez, commençons une partie !

Je suis reçue par Emma, qui s’auto congratule sur son prénom… Et qui me remercie d’être venue travailler avec eux… Elle me dit que j’ai déjà un rendez-vous et que je vais pouvoir montrer mes talents. Euh je ne suis pas peintre mais veto hein. Bref là je peux choisir la « consultation », le « refuge » ou les « photos ». Euuuuh. On va prendre la consultation du coup… Ouh le beau cheval. Refuge extérieur donc, moké si tu le dis…  Je dois caresser  l’animal avant la consultation. Je ne suis pas une sauvage bien sûr que je vais lui faire des câlinous au bourricot ! Ah je peux aussi le siffler pour attirer son attention. C’est obligatoire ca ? Je me sens toujours idiote devant les débilités que peuvent nous faire faire les concepteurs de jeux tout ca pour prouver que le micro est une invention trop top sur la DS, m’enfin. « Lorsque qu’un animal reviendra, ce sera parfois diffèrent car il se souviendra de toi ».Ok je suis peut être alitée mais c’est français cette phrase ? Bon je caresse le cheval euh Cassis de son petit nom, il apprécie (la bonne nouvelle !), c’est top il est détendu, je pensais pouvoir passer la seconde et bah non ! On me propose de consulter le carnet de santé. Allez (Bon c’est intéressant surtout quand on a oublié qu’on avait un cheval devant nous mais sinon,  étape à passer à chaque fois qu’elle est proposée). Et maintenant ? Non plus, Je peux poser des questions à Emma ? Me gonfle l’autre prétentieuse là ! Trois questions vont apparaitre et je dois choisir la bonne. Tout ce suspense ! « Est-ce la première fois qu’il sera vacciné ? »  « A-t-il été vermifugé le mois précèdent comme c’est l’usage pour un cheval ? » et « Se blesse-t-il régulièrement ? » Qu’est-ce que j’en sais moi, je ne sais même pas pourquoi il est dans mon cabinet ce cheval… Il ne semblait pas blessé, va pour le vermifuge, allez. Il a été vermifugé c’est euh chouette, je vous passe le reste mais j’ai du identifier le postérieur du cheval, lui apposer un thermomètre, faire une auscultation cardiaque, respiratoire et j’ai donné mon diagnostique… Ça m’amuserait presque, tiens, héhé. Alors la récompense en bois arrive loool si j’ai réussi ma consultation j’aurais tadaaaaa une superbe photo de Cassis lol. Bon le principal c’est de réussir. Ou de participer, au choix ! J’apprends ensuite pourquoi un cheval de course doit être vacciné et comme quoi, finalement, c’est plutôt intéressant ! Et j’ai laaaa photo de Cassis ! Première consultation réussie !!

Pour tester, je vais au « refuge » où je rencontre John, qui me présente le refuge intérieur, vide pour le moment. Emma me dit « montre moi tes talents » euuuh la seule chose sur laquelle je puisse cliquer c’est « finir la journée » je vais devoir finir ma journée à montrer mes talents a Emma ? Ah non héhé elle fait un bilan et nous voilà jour n°2 !

Diiiiiirect j’enchaîne sur les consultations (genre je suis en mode professionnelle là moi) et me voilà devant Anatole le Cochon (ndlr : j’adoooore les cochons !)

Pour le moment, je peux dire que le jeu n’est pas inintéressant car il explique certains soins et examens de base pour effectuer un diagnostique. Lorsqu’on se trompe, on peut cliquer sur une autre icône ou un autre diagnostique, Betty, mon assistante, m’explique pourquoi ce n’est pas le bon choix ! Que le sujet de la médecine animale nous soit proche ou non, il faut admettre que ce n’est pas trop mal fait comme jeu, c’est plutôt instructif et nous pouvons faire bouger l’animal pour accéder aux zones à traiter.

Apres, l’écran du haut n’est qu’une succession d’images de mes interlocuteurs, lorsqu’on pointe le stylet sur quelque chose le temps de réponse assez aléatoire, ça peut être pénible ou stressant mais moi je veux juste bêtement soigner l’animal. Et la photo cadeau n’est pas très enthousiasmante. Je m’enferme dans le jeu à 100% avant de vous donner mon avis final.

Nous voilà quasiment 4h plus tard… Jeu terminé ! Je ne serais peut-être pas allée « aussi » vite si je n’avais pas vu que je n’avais que 13 journées à faire dans le catalogue photo (car oui pour moi c’est rapide de terminer un jeu en 4h, je ne suis pas une serial gameuse). Une journée se résume en quelques consultations (3 ou 4) dont parfois des urgences et aller prendre soin des petiots que j’ai dans mon refuge. « Prendre soin » c’est surtout leur donner à manger, un traitement, parfois s’amuser avec eux et les laver, selon la race et la raison de leur présence dans mon cabinet. Alors je me suis dit que quitte à avancer dans le jeu, autant gérer les 13 journées. Tout s’est bien passé, une fois que j’ai compris que je ne pouvais commencer le soin qu’une fois que le texte descriptif avait fini de s’écrire sur l’écran supérieur.

Bilan : Sur fond d’une musique dont j’aurais clairement pu me passer, j’ai appris (de façon succincte et virtuelle bien sur) à apprivoiser et soigner des chat, chien, chèvre, cochon, cheval, kangourou, lion, éléphant, aigle, perroquet, hamster, ours et autres bébêtes. Les examens sont plutôt visuellement bien faits (radiographies, vision de la zone malade à la loupe…). Petit plus, parfois une nouvelle case « Surprise » apparait. En pointant dessus, un ancien patient apparait pour me dire bonjour et prendre quelques petites caresses en passant car « en plus d’être un bon vétérinaire » je suis aussi un « véritable ami ». Oui, j’assume, ça m’a fait sourire car je me suis prise au jeu et ça me tenait à cœur de soigner ces petites bêtes malades. Par contre, il faut savoir qu’on voit les plaies et la peau tondue, les os cassés et tous les soucis de ces animaux : amés sensibles s’abstenir ! Un jeu à conseiller aux enfants vraiment intéressées par ce boulot.

A part le chapitre 11 qui ne voulait pas se lancer et le fait que parfois je n’ai pas trop compris pourquoi je n’ai pas reçu ma photo récompense et donc que je n’ai pas compris les erreurs que j’ai pu faire, j’ai passé un bon moment. Peut-être que le jeu entier d’un coup c’est un peu intense et donc on se lasse un peu de faire un énième palpé d’abdomen ou une énième piqure dans le cou. Alors ok pour les habitués de Mass Effects et même les afficionados de Mario Kart sur Wii ne vont certainement voir aucun intérêt à ce jeu. De base un adulte ne verra aucun intérêt, on ne va pas se mentir. Et 4 heures c’est un jeu plutôt court, c’est évident, mais on peut recommencer la partie et réviser les maladies les plus récurrentes chez les aigles « domestiqués ». Si on me demande mon avis, je dirais Non, pas la vitrine de la Honte, mais le gameur dans l’histoire, ce n’est pas moi 🙂

Clem : « Un jeu qui n’ira pas dans la vitrine de la honte, merci à Mélody d’y avoir passé du temps »

Rumeur, mais qui fait peur !

Quand on voit toutes les lois qui veulent se mêler de notre univers numérique qui évolue des millions de fois plus vite que la vraie vie, quand on voit les éditeurs qui nous fourguent des DLC sur des jeux pas finis qui ont besoin de patchs dès le jour de la sortie, on peut se permettre d’avoir peur pour l’avenir et les prochaines consoles. Les coupons pour pouvoir jouer en ligne se justifiaient au début par la maintenance des serveurs de jeu en ligne or aujourd’hui un peu plus d’un an après leur apparition on constate que des jeux fonctionnant avec ce système voient leur serveurs fermés pour cause de manque de fréquentation … où sont donc passés les 10 euros que les joueurs ont versé pour s’assurer de pouvoir jouer en ligne ??? Si on rajoute à ça la multiplication de DLC qui ne sont en fait que des clés de déverrouillage de contenus déjà présents sur la galette on se demande si ce n’est pas juste un énième moyen de vendre un jeu plus de 100 euros au final. Avant pour déverrouiller un god mode on tapait IDDAD ou IDKFQ, pour choisir un niveau on faisait Haut, bas, gauche, droite A+B+C+Start, aujourd’hui on va sur le playstation store ou le XBLA et on paye 2,99 pour obtenir le cheat en DTC … pardon DLC ! Pour pouvoir ne pas se ruiner on a encore le moyen d’acheter un jeu d’occasion, mais des rumeurs, sans doute non fondées tournent sur le net, des rumeurs qui me font peur … Le dématérialisé dans les jeux interdit purement et simplement la revente, mais c’est du démat, et pour moi le démat ça va pour des petits jeux comme les minis ou pour Pain … mais je suis fan des jeux d’occasion pour pouvoir tester sans me ruiner des jeux que je ne suis pas pressé d’avoir, ou des jeux un peu plus anciens …

Les rumeurs sur la PS4 et la Xbox 720 avec les codes qui interdiraient purement et simplement le marché de l’occasion sont inquiétantes. C’est un peu comme ACTA qui limite les libertés individuelles. D’après ce qu’il se dit, plus moyen de revendre son jeu ou d’aller jouer à son jeu chez un ami. Et bien sûr pour le gamer, un gros manque à gagner car plus moyen de revendre son jeu pour en acheter un.

Aussi, dans la démarche « mieux vaut prévenir que guérir », Gamoniac a lancé la pétition ci-jointe via leur site ps4fanatics : http://www.ps4fanatics.fr/petition/index.php?partner=Clem2k et je les soutiens dans leur démarche. Il m’ont fait économiser beaucoup d’argent sur les jeux d’occasion, et je ne concois pas de me passer des jeux d’occasion. Je souhaite vraiment que cette rumeur soit démentie rapidement, que ce ne soit que de l’intox, mais juste au cas où je préfère ne pas prendre de risque.

Je sais bien qu’une super production de jeu vidéo coûte un max d’argent à investir, mais taper sur le marché de l’occasion (si la rumeur est vraie) n’est vraiment pas la solution. Obliger un joueur à ne consommer que du neuf, c’est comme vouloir interdire le marché de l’occasion sur les voitures … Ceux qui ont les moyens achètent du neuf et les autres peuvent se brosser … C’est pas comme ça que je vois l’accès au loisir vidéoludique !

Sources : Kotaku et en français : http://www.jeuxvideo.com/news/2012/00057467-playstation-orbis-le-point-sur-la-ps4.htm

Real Stories Babies

Pochette du jeu

Vous voulez du test de jeu pourri, en voilà un beau !

Fait remarquable : lorsque j’ai allumé ma DS pour lancer le jeu, elle a planté pour la première fois en 4 ans. Un  bon vieux plantage comme nous faisaient les anciennes Game Boy lorsque nous lancions certaines cartouches encrassées : le logo Nintendo de démarrage s’est lancé puis a frisé en plein milieu de son affichage ! o-O

Présentation du jeu

Il s’agit d’un jeu de gestion produit par Mindscape. Le menu de démarrage présente un univers coloré à dominante rose. A l’aide d’images fixes pas spécialement belles, le mode Histoire m’apprend que je suis une apprentie nounou qui vient d’arriver dans une maison où « les parents déposent leur bébé le matin et viennent le soir le récupérer » (au cas où ça aurait été un orphelinat et non une garderie, hein). Celle-ci est constituée de plusieurs pièces : une salle commune où sont regroupés tous les bébés et plusieurs autres comportant les activités/mini-jeux. Il faut surveiller les statistiques du bébé et faire qu’ils restent au plus haut afin que le bébé ne crie pas et ne « sème la panique chez les autres bébés ». Si les parents sont contents de mon travail, plus de parents me confieront leurs bébés et je gagnerai donc plus d’expérience. J’ai par exemple obtenu la garde d’un deuxième bébé au début de la seconde journée.

Salle commune

 Je me lance enfin dans le jeu avec bébé Jack, mon premier bébé. Premier constat : mais qu’il est moche, ce bébé modélisé en 3D avec sa face toute plate, son manque de détails et ses membres pixellisés ! Je clique sur l’icône en forme de hochet pour voir ce que ça fait : j’ai des icônes avec plusieurs faces de bébé. Chacune correspond au lever en l’air, au bercement et au câlin près du corps. Cependant, impossible de le savoir avant d’avoir cliqué dessus et de toutes façons, vous voyez juste le bébé qui bouge tout seul dans les airs, les bras de la nounou n’ayant pas été modélisés ! o-O Cela ne joue en rien sur les statistiques du bébé, il y a bien des activités comme le tambourin ou le moulin à vent qui utilisent les fonctions interactives de la DS mais elles ne sont pas débloquées dès le début.

J’ai passée 3 heures à chercher une icône sur l’écran avant de comprendre que pour quitter cette activité, il faut appuyer sur le bouton Start puis sélectionner plusieurs fois « Quitter » parce que le jeu a la vitesse de détection d’un lamantin endormi… Cela me permet de voir bébé Jack au milieu de la salle commune essayant de marcher puis se retrouvant assis un peu plus loin ou encore tournant tout seul sur le sol comme s’il était assis sur une chaise tournante invisible. Pas de doute, ce bébé est possédé !
Autres salles
Il n’y a aucune indication concernant l’élément sur lequel cliquer pour lancer le mini-jeu dans chaque salle. J’ai dû cliquer à l’aveuglette avant de m’apercevoir que je n’avais encore accès à rien dans la salle d’habillage…

Concernant les autres pièces :

–         La salle de bain : il faut laver le bébé en soufflant sur les bulles de savon pour qu’elles ne lui piquent pas les yeux : par contre, l’éponge pleine de savon en plein dedans, il s’en fiche. On a beau frotter pendant 3 heures au même endroit, il y a des taches qui semblent ne pas partir et malgré ça, le jeu considère que c’est bon. M’enfin, « un bébé qui sent bon est un bébé heureux »… Vu qu’il va passer par la baignoire au moins 3 fois dans une journée, on veut bien croire !

–         La cuisine : il faut préparer le biberon (la maniabilité est très mauvaise pour la cuillère de lait en poudre et l’ajout d’eau chaude), le mélanger et le servir au bébé en le mettant dans les inclinaisons demandées. On voit parfois clairement que le biberon n’est pas dans la bouche du bébé mais bon, il est content. Pas passionnant.

–         Le jardin : il faut faire glisser le stylet dans le sens demandé par le bébé pour faire tourner le manège et on voit sur l’écran du haut s’il est content ou non. Ennuyeux.

–         La salle de jeu : il faut cliquer dans le bon ordre sur 3 instruments pour amuser bébé. Si ce n’est pas celui qu’il veut entendre, il tire la tronche. Une sorte de « Mastermind» en plus simple et plus ennuyeux

–         La chambre : LE PIRE DE TOUS ! Le matelas de bébé est tellement moche qu’on dirait une pièce de mur dans Minecraft. Il faut aider bébé à s’endormir en inclinant son berceau mais à cause de la maniabilité pourrie, on perd le rythme une fois sur 4 au début, le berceau refusant de continuer à s’incliner ! Et même quand on l’a trouvé, c’est juste ennuyeux à mourir. Le pire, c’est que si on ne berce pas assez vite, bébé tire la tronche. Mais c’est nous qui devrions tirer la tronche !

 
Et la sauvegarde, b*#@%ù ?!
 

Bon, je crois qu’il est temps de sauvegarder. Mais au fait, où est-ce qu’on sauvegarde ? C’est automatique ? Ah bah non, en revenant à l’écran titre, j’ai dû recommencer depuis le début du jeu ! Bah alors, c’est une option quelque part ?

Un gros énervement et quelques recherches sur Internet plus tard, on apprend que le jeu sauvegarde automatiquement au bout d’une journée complète dans le jeu. Et ça dure combien une journée complète ? ON N’EN SAIT RIEN ! Il n’y a aucune indication temporelle dans cette saleté de jeu. A force de persévérance à recommencer les mini-jeux quand les statistiques de bébé Jack étaient trop bas, je peux maintenant vous annoncer qu’il faut attendre une demie-heure pour que la sauvegarde soit effectuée…Argh.

 
BILAN

–         Bande son oubliable : musiques simples et bruits de bébé, sauf, le comble, dans les mini-jeux les mettant en scène

–         réactivité de l’écran tactile parfois proche de 0

–         mini jeux répétitifs, pour la plupart sans intérêt et avec une maniabilité exécrable

–         Graphismes 3D comme 2D moches

–         Pas de sauvegarde manuelle !!! o-O

–         [L’internement dans une maison de repos de la testeuse]

Oh, une cartouche qui vole!!!!

Vitrine de la honte APPROUVEE !

Georges St-Pierre, le célèbre champion de MMA, s'implique dans SLEEPING

GEORGES ST-PIERRE, LE CELEBRE CHAMPION DE MMA, S’IMPLIQUE DANS SLEEPING DOGS

L’athlète reconnu s’investit avec Square Enix et United Front Games dans la réalisation des systèmes de combats de ce drame policier en monde ouvert

Square Enix London Studios, annonce aujourd’hui son partenariat avec l’illustre champion de Mixed Martial Arts (MMA), Georges St-Pierre, pour une collaboration au développement de SLEEPING DOGS, un drame policier viscéral se déroulant en monde ouvert dans la fourmillante ville de Hong Kong. Georges St-Pierre, surnommé « GSP » par ses légions de fans, a travaillé avec Square Enix et United Front Games sur de multiples éléments, et notamment sur les combats en jeu de SLEEPING DOGS. « La possibilité de travailler avec Square Enix représente une opportunité incroyable », a déclaré Georges St-Pierre. « Je suis réellement impressionné par l’aspect du combat à mains nues dans le jeu – le fait de m’impliquer sur ce projet constitue une expérience géniale. » SLEEPING DOGS se déroule dans une Hong Kong très stylisée et bourrée d’action, où chaque coin de rue, chaque étal de marché, chaque dock et même chaque gratte-ciel peut devenir le terrain de fusillades, de courses-poursuites chargées d’adrénaline et de combats d’arts martiaux brutaux et intenses pour les joueurs qui incarnent le flic infiltré Wei Shen. Avec l’un des systèmes de combat les plus intuitifs et les plus imaginatifs jamais mis au point, SLEEPING DOGS propose aux joueurs de réaliser une multitude de mouvements d’arts martiaux, leur permettant de se débarrasser de plusieurs ennemis d’une seule main. Les joueurs n’hésitent pas à décocher coups de pied mortels, combos enragés et contres vicieux, tout en se servant des nombreux objets de leur environnement, de la scie circulaire aux cabines téléphoniques, en passant par les incinérateurs et les portes de réfrigérateurs, pour éliminer de façon radicale les adversaires les plus récalcitrants. En tant que consultant sur des éléments clés du jeu, Georges St-Pierre prend part au développement de SLEEPING DOGS sur le long terme, tout en partageant des aperçus de la progression du développement avec le public. « Quand on parle de combat professionnel, il n’y a pas beaucoup de noms plus connus que GSP », a confié Lee Singleton, Directeur Général de Square Enix London Studios. « Nous sommes ravis de l’expertise que GSP apporte à SLEEPING DOGS ». SLEEPING DOGS sera disponible dans la deuxième partie de l’année 2012 sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC.

Pour plus d’informations sur le jeu, visitez le site officiel http://www.sleepingdogs.net ou rejoignez la page Facebook www.facebook.com/SquareEnixFrance

Square Enix dévoile la PROFESSIONAL EDITION pour HITMAN ABSOLUTION

HITMAN ABSOLUTION – PROFESSIONAL EDITION. Celle-ci propose notamment un Art Book cartonné préfacé par Tore Blystad, Directeur du jeu Hitman Absolution, ainsi qu’une vidéo exclusive de making-of, le tout soigneusement rangé dans un coffret de première qualité aussi élégant que l’Agent 47 en costume. Le packPROFESSIONAL EDITION est la façon ultime d’embrasser l’univers vivant et dynamique de Hitman Absolution. L’édition limitée HITMAN ABSOLUTION – PROFESSIONAL EDITION contient également un accès avancé dans le jeu à certaines armes de l’Agence, fournissant d’emblée à l’Assassin Original un avantage implacable sur ses ennemis. Le pistolet Jagd P22G conviendra aux tueurs à gages les plus discrets, tandis que la mitraillette HX UMP et le fusil à pompe SPS 12, donneront à l’Agent 47 la puissance suffisante pour foncer sur ses ennemis tête baissée. HITMAN ABSOLUTION vous entraîne sur les pas de l’agent 47, le tueur à gages au sang froid légendaire qui doit remplir un contrat plus dangereux que jamais. Trahi par ses alliés et traqué par la police, il est désormais pris dans les engrenages d’une sombre conspiration. Il va vivre une quête personnelle et profonde dans un monde perverti et corrompu, à la recherche de la vérité…
L’édition limitée HITMAN ABSOLUTION – PROFESSIONAL EDITION ainsi que la version STANDARD, sont disponibles dès maintenant en précommande, chez vos revendeurs, avec les bonus de précommandes ci-dessous :
Amazon : Pistolet Bartoli – Conçu à l’origine pour le tir de compétition, ce pistolet possède une excellente précision.
Fnac : Pack « Armes de l’Agence » – Un pistolet moderne de haute qualité ; Une puissante mitraillette de gros calibre ; Un fusil semi-automatique dévastateur.
Game : Pistolet Krugermeier 2-2 – Arme de prédilection des forces spéciales, le silencieux intégré à ce pistolet le rend complètement insonore. Parfait pour des tirs discrets à courte distance.
Micromania : Fusil de précision de l’Agence Kazo TRG – Le fusil à lunette moderne et officiel de l’Agence avec viseur et silencieux améliorables.
Square Enix Boutique : http://www.square-enix-boutique.com/univers/hitman-absolution.phtml
Mitraillette Bronson M1928  Une mitraillette classique et fiable. Sa cadence de tir relativement faible est contrebalancée par un important pouvoir d’arrêt
Figurine SD de l’Agent 47 – Haute de 3 pouces (env. 7,5 cm), cette figurine de l’Agent 47 en version Super Deformed reprend les traits caractéristiques du personnage : ses Silverballers avec silencieux, son costume noir et sa cravate rouge, et son regard assassin.

Collector Saint Seiya

Bon bah le voilà enfin arrivé à la maison, le headgear numéroté des chevaliers du

Un casque qui rend mieux sur son socle hein ^^

zodiaque. Un très bel objet, numéroté et tiré à 5000 exemplaires. J’en ai rêvé Namco Bandai l’a fait. Le collector contient un DLC de Seiya dans l’armure du Sagitaire, un Tshirt qui n’est pas du tout fait pour le geek habitué au régime pizza coca que je suis, un certificat avec numéro de tirage, un casque du sagitaire (en plastique certes, mais bon on va pas faire les fines bouches et demander de l’or …), et le tout est livré dans une boite (en carton) qui à tout d’une pandora’s box, elle est énorme et dorée (elle brille, c’est beauuuuuuu). Bon maintenant je vais mettre le casque et devenir Clem2k le chevalier de plastoc du sagitaire !!!!!!

Si vous voulez lire ou relire le test du jeu : https://www.clem2k.com/2012/03/18/saint-seiya-ps3-le-test-du-fan/

Une bonne nocturne … au début !

Ce week end j’ai fait une petite sortie dans « la vraie vie » mais pour célébrer la culture japonaise, et dans mon cas le jeu vidéo ! Un très bon programme et un esprit plutôt sympathique en début de soirée. Du jeu vidéo retro (et Bomberman contre le Shin Kendo c’est toujours fun), des jeux musicaux en compagnie de tonton Blacky, du DDR à un niveau qui m’impressionnera toujours, et des geeks et otakus partout !

Je suis parti assez tôt, en tout cas bien avant que des personnes qui ont oublié de boire AVEC MODERATION fassent leur entrée … je ne vais pas m’étaler sur le sujet, je vous conseille juste de lire cela : http://www.epitanime.net/2012/04/09/nocturne/

Cela me déprime de voir de si belles initiatives ruinées (et le mot et faible) par l’alcool.